Oeuvres et citations de Benjamin CONSTANT

Oeuvres de Benjamin CONSTANT

  • Wallstein, précédé de Quelques réflexions sur le théâtre allemand et suivi de Notes historiques (1809)

14 citations de l'auteur Benjamin CONSTANT (Page 1 sur 1)

Citation Œuvre Entrée
Cette crédulité était si accréditée que.... Des bruits trop répandus que la haine accrédite Walstein, I, 4 accréditer
Je sens que je me modérantise, et il faudra que vous me proposiez anodinement une petite contre-révolution pour me remettre à la hauteur des principes Lett. à Mme de Charrière, 14 oct. 1794, dans SAINTE-BEUVE, Portraits littér. B. Constant et Mme de Charrière anodinement
Mansfeld eût échangé sans un destin fatal Le casque du guerrier contre un bandeau royal Walst. IV, 6 échanger [1]
Ces éclats d'un courroux peut-être légitime Walstein, III, 3 éclat
Du monarque lui-même il est fort écouté Walstein, I, 1 écouté, ée
Et ce peuple au mépris des traités solennels Par des chiens écumants chassé jusqu'aux autels Walstein, IV, 5 écumant, ante
Ils ne souffriront pas Qu'on ose en ma présence égarer leurs soldats Walstein, II, 4 égarer
Je n'irai point, changeant tout à coup de langage, Seigneur, d'un vain remords faire ici l'étalage Walstein, II, 4 étalage
Sa manière d'obliger [de M. de Charrière] est si unie et si immaniérée, qu'on croit toujours qu'il est tout simple d'abuser de ses bontés Lett. à Mme de Charrière, dans SAINTE-BEUVE, Portraits littér. t. III, B Constant et Mme de Charrière. immaniéré, ée
Ah ! Wallstein de nous deux avait bien mérité Wallstein, II, 8 mériter
Je suis devenu tout à fait talliéniste [partisan de Tallien], et c'est avec plaisir que je vois le parti modéré prendre un ascendant décidé sur les jacobins.... je sens que je me modérantise Lettre à Mme de Charrière, 14 oct. 1794, dans SAINTE-BEUVE, Portraits littér. B. Constant et Mme de Charrière modérantiser (se)
Quand tous sont isolés, il n'y a que de la poussière ; quand l'orage arrive, la poussière est de la fange De la Religion, préf. poussière
Des discussions publiques, des élections libres, des ministres responsables, la liberté de la presse, je veux tout cela.... la liberté de la presse surtout ; l'étouffer est absurde (Paroles de Napoléon en 1815) Lettres sur les Cent-Jours, II, 2 presse [1]
Je ne veux point faire sensation, je veux végétailler doucement Lettre à Mme de Charrière, dans STE-BEUVE, Portraits littér t. III, B. Constant et Mme de Charrière végétailler
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