Oeuvres et citations de Philippe Néricault DESTOUCHES
Eléments de biographie : dramaturge
219 citations de l'auteur Philippe Néricault DESTOUCHES (Page 6 sur 6)
| Citation |
Œuvre |
Entrée |
| Ce palsambleu est impayable ; c'est un petit tour cavalier qui frappe, qui saisit ; j'aime les tours cavaliers |
Fausse Agnès, III, 6 |
tour [2] |
| Oui, oui, défaites-vous de cette tracassière |
Irrésolu, v, 9 |
tracassier, ière |
| Est-il joli, Quand on traite quelqu'un, de s'ennuyer à table, D'en sortir le premier ? |
Phil mar. IV, 3 |
traiter |
| Le comte : Quant à moi, j'aime la politesse. - Lisimon : Moi je ne l'aime point, car c'est une traîtresse Qui fait dire souvent ce qu'on ne pense pas |
Glor. II, 15 |
traître, esse |
| Finette : .... pour l'expédier il lui propose un jeu Dont l'inventeur, je crois, mériterait le feu. - Le baron : De quel jeu parles-tu ? - Finette : C'est au trente et quarante |
Dissip. v, 2 |
trente |
| Sais-tu que la plaisanterie Convient ici fort mal ? trêve de raillerie |
Irrésolu, IV, 6 |
trêve |
| Vous ne tutoierez plus un gendre de ma sorte |
Glor. III, 9 |
tutoyer |
| Un déluge d'écrits, tant en prose qu'en vers, Qui vont à mes dépens réjouir l'univers |
Phil. marié, v, 1 |
univers |
| Les femmes valent bien messieurs les beaux esprits |
Phil. marié, II, 5 |
valoir |
| Enfin, vaille que vaille, L'ennemi se soumet, j'ai gagné la bataille |
Glor. v, 3 |
valoir |
| Allons donc, tout coup vaille, épousons sans amour |
Irrésolu, IV, 1 |
valoir |
| Par la ventrebille, je puis me vanter de lui avoir été tout dévoué |
Tambour nocturne, I, 2 |
ventrebleu |
| Crachez des vers tout votre soûl ; mais, par la ventregoi, ne gesticulez pas |
la Fausse Agnès, II, 2 |
ventrebleu |
| Ah ! que vous en savez long ! mais je vous vois venir : vous voulez me tirer les vers du nez |
Fausse Agnès, III, 4 |
ver |
| Te voilà vraiment libre et vis-à-vis de rien |
Dissip. v, 9 |
vis-à-vis |
| Eh quoi ! pour un mari vous serez complaisante Jusqu'à vouloir pour lui vous enterrer vivante |
Phil. marié, v, 4 |
vivant, ante |
| Vivent les provinces pour les manières ; on se pique à Paris d'un petit air aisé, qui est la grossièreté même |
Fausse Agnès, I, 7 |
vivre [1] |
| Moi, je ne veux rien ; c'est ma femme qui veut |
Fausse Agnès, I, 1 |
vouloir [1] |
| Et zeste! si quelqu'un vous pouvait prendre au mot, Vous diriez : serviteur, je ne suis pas si sot |
Phil. marié, I, 4 |
zest |