Oeuvres et citations de Jean de LA FONTAINE

6934 citations de l'auteur Jean de LA FONTAINE (Page 171 sur 174)

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Ce mai [l'arbre] nous avertit qu'il faut songer au vert. - Vous y jouez donc. - Oui. - Gardez d'être attrapée Je vous prends sans vert, SC. 8 vert, erte
Et, bien qu'animal sans vertu, Il [l'âne couvert de la peau du lion] faisait trembler tout le monde Fabl. v, 21 vertu
Cette femme, aussitôt, fine, adroite, hautaine, Saura mettre à profit votre peu de vertu, Et triompher de vous, vous voyant abattu Eunuque, I, 1 vertu
Les vertus devraient être soeurs, Ainsi que les vices sont frères Fabl. VIII, 25 vertu
je vous arrête à cette rime ; Je ne la tiens pas légitime Ni d'une assez grande vertu Fabl. II, 1 vertu
Vous portez en tous lieux la joie et les plaisirs ; Allez en des climats inconnus aux zéphirs ; Les champs se vêtiront de roses Lett. XVIII vêtir
Légère et court vêtue, elle allait à grands pas Fabl. VII, 10 vêtu, ue
Entre la veuve d'une année Et la veuve d'une journée La différence est grande.... L'une fait fuir les gens, et l'autre a mille attraits Fabl. VI, 21 veuf, veuve
Il se réjouissait à l'odeur de la viande Mise en menus morceaux et qu'il croyait friande Fabl. I, 18 viande
De son vice-gérant [l'amant de sa femme] il [un mari] apprend tous les soins Petit chien. vice-gérant
Son vainqueur [un coq] sur les toits S'alla percher, et chanter sa victoire Fabl. VII, 13 victoire
Qu'aperçois-je ! dit-il ; c'est quelque victuaille ! Et, si je ne me trompe à la couleur du mets, Je dois faire aujourd'hui bonne chère, ou jamais Fabl. VIII, 9 victuaille
Je suis victus, je le confesse Chose imposs. victus
Comment percer des airs la campagne profonde ? Percer Mars, le soleil et des vides sans fin ? Fabl. VIII, 16 vide
Petits princes, videz vos débats entre vous ; De recourir aux rois vous seriez de grands fous Fabl. IV, 4 vider
Plus le vase versait, moins il s'allait vidant Phil. et Bauc. vider
En ce cas-là volontiers gagerai, Reprit Guillaume, et j'y mettrais ma vie Orais. vie [1]
Petit poisson deviendra grand, Pourvu que Dieu lui prête vie Fabl. v, 3 vie [1]
Venez souper chez moi ; nous ferons bonne vie Fabl. I, 14 vie [1]
La galande fit chère lie, Mangea, rongea : Dieu sait la vie ib. III, 17 vie [1]
Dansant, chantant, menant joyeuse vie Mari confess. vie [1]
Mais vous-même, à propos, Vous avez fait tantôt une terrible vie Joc. vie [1]
Dieu sait la vie.... elle tance Isabeau Cloch. vie [1]
Il [un enfant malade] dit qu'il veut seulement le faucon De Frédéric, pleure et mène une vie à faire gens de bon coeur détester Faucon. vie [1]
Je vous en déferai, bon homme, sur ma vie Fabl. IV, 4 vie [1]
Gardez-vous sur votre vie, D'ouvrir que l'on ne vous die, Pour enseigne et mot du guet : Foin du loup et de sa race Fabl. IV, 15 vie [1]
C'était un vieux routier, il savait plus d'un tour Fabl. III, 18 vieil
Vers le Levant, le Vieil de la montagne Se rendit craint par un moyen nouveau Féronde. vieil
Vieillard, lui dit la Mort, je ne t'ai point surpris ; Tu te plains sans raison de mon impatience Fabl. VIII, 1 vieillard
Calendrier des vieillards, prétextes tirés du repos des fêtes par un vieux mari à l'égard de sa jeune femme Calendr. vieillard
La jeunesse se flatte, et croit tout obtenir ; La vieillesse est impitoyable Fabl. XII, 5 vieillesse
D'un loup écorché vif appliquez-vous la peau Toute chaude et toute fumante Fabl. VIII, 3 vif, vive
Jusques au vif il voulut la blesser Court. vif, vive
Partant, madame, en un mot comme en mille, Votre beauté jusqu'au vif m'a touché Magn. vif, vive
...Ce couple si charmant, Toujours d'accord, de plus en plus s'aimant... Se promettait la vigne de l'abbé Aveux indiscrets. vigne
Perrette, sur sa tête ayant un pot au lait Bien posé sur un coussinet, Prétendait arriver sans encombre à la ville Fabl. VII, 10 ville
Messieurs de ville eurent en vérité bonne part de l'honneur en cette illustre fête Lettres, I, à Fouquet. ville
Ils eurent bonne année, Pleine moisson, pleine vinée Fabl. VI, 4 vinée
Enfin, quoique ignorante à vingt et trois carats, Elle passait pour un oracle Fabl. VII, 15 vingt
Si je suis dieu, vous cesserez de m'aimer, ou du moins vous ne m'aimerez plus avec tant d'ardeur ; car il s'en faut bien qu'on aime les dieux aussi violemment que les hommes Psyché, I, p. 54 violemment
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