Oeuvres et citations de Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE

8450 citations de l'auteur Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE (Page 46 sur 212)

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[Agnès] N'a plus voulu songer à retourner chez soi, Et de tout son destin s'est commise à ma foi Éc. des f. IV, 8 de
Il me faudrait des journées entières pour me bien expliquer à vous de tout ce que je sens G. D. III, 5 de
Car Lucile soutient que c'est une chanson, Et m'a parlé d'un air à m'ôter tout soupçon Dépit am. III, 8 de
Et traitant de mépris les sens et la matière, à l'esprit, comme nous, donnez-vous tout entière Femmes sav. I, 1 de
Où, de droit absolu, j'ai pouvoir d'ordonner Sgan. I de
Et tâchons d'ébranler, de force ou d'industrie, Ce malheureux dessein qui nous a tous troublés Tart. IV, 2 de
Vous les voulez traiter d'un semblable langage ? ib. I, 6 de
Et traitent de même air l'honnête homme et le fat Mis. I, 1 de
Nous faisons maintenant de la médecine d'une façon toute nouvelle Méd. m. lui, II, 6 de
J'ai connu un homme qui prouvait par bonnes raisons qu'il ne faut jamais dire, une telle personne est morte d'une fièvre et d'une fluxion de poitrine, mais elle est morte de quatre médecins et de deux apothicaires l'Amour méd. II, 1 de
Mais je hais vos messieurs de leurs honteux délais Amph. III, 8 de
Cessez de vous laisser conduire au premier vent l'Étour. I, 9 de
Une galère turque où l'on nous avait invités d'entrer Scapin, III, 3 de
La crainte fait en moi l'office du zèle.... et me réduit d'applaudir bien souvent à ce que mon âme déteste D. Juan, I, 1 de
Ah ! je vous apprendrai de me traiter ainsi Amph. III, 4 de
Je croyais tout perdu de crier de la sorte Sgan. 3 de
Ah ! voilà qui me plaît de parler de la sorte ! ib. 18 de
Est-ce pour rire ou si tous deux vous extravaguez de vouloir que je sois médecin ? Méd. m. lui, I, 6 de
Si je suis affligé, ce n'est pas pour des prunes, Et je le donnerais à bien d'autres qu'à moi, De se voir sans chagrin au point où je me voi Sganar. 16 de
Quel sort ont nos yeux en partage, Et qu'est-ce qu'ils ont fait aux dieux, De ne jouir d'aucun hommage ? Psyché, I, 1 de
Que le ciel la préserve à jamais de danger ! Voyez quelle bonté de vouloir me venger ! Sganar. 17 de
Hélas ! si l'on n'aimait pas, que serait-ce de la vie ? Pourc. III, 10 de
Ah ! voilà justement de mes religieuses, Lorsqu'un père combat leurs flammes amoureuses Tart. IV, 3 de
Diantre de.... au diable soit.... Diantre soit de la folle avec ses visions ! A-t-on rien vu d'égal à ses préventions ? F. sav. I, 5 de
D'où vous peuvent venir ces douleurs non communes ? Sganar. 16 de
Ce n'est pas tant la peur de la mort qui me fait fuir que de ce qu'il est fâcheux à un gentilhomme d'être pendu Pourc. III, 2 de
Et dans tous ses propos On voit qu'il se travaille à dire de bons mots Mis. II, 5 de
; Le remède plus prompt où j'ai su recourir, C'est de pousser ma pointe et dire en diligence à notre vieux patron toute la manigance Dép. am. III, 1 de
Trouvestu beau, dis-moi, de diffamer ma fille Et faire un tel scandale à toute une famille ? ib. III, 8 de
Il me prend des tentations d'accommoder son visage à la compote et le mettre en état de ne plaire, de sa vie, aux diseurs de fleurettes G. D. II, 4 de
La peste soit de l'homme et sa chienne de face ! Éc. des f. IV, 2 de
Ce n'est pas de ces sortes de respects dont je vous parle G. D. II, 3 de
Ce n'est pas de vous, madame, dont il est amoureux Amants magn. II, 3 de
C'est un étrange fait du soin que vous prenez, à me venir toujours jeter mon âge au nez [le fait du soin, le fait qui est le soin] Éc. des maris, I, 1 de
Je dis que l'on doit faire ainsi qu'au jeu de dés, Où, s'il ne vous vient pas ce que vous demandez, Il faut jouer d'adresse et d'une âme réduite Corriger le hasard par la bonne conduite Éc. des f. IV, 8 dé [1]
À vous le dé, monsieur [c'est de vous qu'il s'agit] Mis. V, 4 dé [1]
.... L'on est chez vous contrainte de se taire : Car madame, à jaser, tient le dé tout le jour Tart. I, 1 dé [1]
Et l'on me désosie enfin Comme on vous désamphitryonne Amph. III, 8 dé- [3]
Et je vas à la débandade Don Juan, II, 1 débandade
Qui diable vous a fait aussi vous aviser à quarante-deux ans de vous débaptiser ? Éc. des f. I, 1 débaptiser
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