Citation de MOLIÈRE extraite de l'article "dé [1]" du dictionnaire de français Littré
.... L'on est chez vous contrainte de se taire : Car madame, à jaser, tient le dé tout le jour
(Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE, Tart. I, 1)
Citation | Œuvre | Entrée |
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Et l'on me désosie enfin Comme on vous désamphitryonne | Amph. III, 8 | dé- [3] |
Et je vas à la débandade | Don Juan, II, 1 | débandade |
Qui diable vous a fait aussi vous aviser à quarante-deux ans de vous débaptiser ? | Éc. des f. I, 1 | débaptiser |
Je suis las de porter un visage si laid, Et je m'en vais au ciel avec de l'ambroisie M'en débarbouiller tout à fait | Amph. III, 10 | débarbouiller |
Il n'est rien de plus beau que ces tendres pensées, Du commerce des sens si bien débarrassées | Femm. sav. IV, 11 | débarrassé, ée |
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Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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Un fatal jeu de dés dont la fureur les possédait, noircissait leur esprit et absorbait leur âme | MARMONTEL | Mém. liv. VII, t. II, p. 206, dans POUGENS | dé [1] |
Chacun après le dé vous montre comment il fallait jouer | COURIER | Lett. I, 129 | dé [1] |
Voyons si la vertu n'est qu'une sainte erreur, L'espérance un dé faux qui trompe la douleur | LAMARTINE | Harm. IV, 11 | dé [1] |
Ma fille, il ne s'en faut qu'une tête qu'elle [une terre] soit à vous ; ce serait un beau coup de dé | SÉVIGNÉ | 349 | dé [1] |
Elle peut vous valoir beaucoup, elle peut vous valoir très peu ; tout est coup de dé dans ce monde | VOLTAIRE | Lett. Thiriot, 4 mars, 1769 | dé [1] |