Oeuvres et citations de Alphonse de LAMARTINE

Oeuvres de Alphonse de LAMARTINE

  • Harmonies poétiques et religieuses (1830)
  • Harold (????)
  • Jocelyn (1836)
  • Méditations poétiques (1820)
  • Mort de Socrate (????)
  • Autres oeuvres de Lamartine

1259 citations de l'auteur Alphonse de LAMARTINE (Page 1 sur 32)

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Citation Œuvre Entrée
L'oeil ébloui se perd dans leur foule innombrable [des insectes] ; Il en faudrait un monde à faire un grain de sable Joc. IV, 34 à
.... mais, lorsque tu m'abats, Je me relève encor pour insulter ton bras Jonath. 330 abattre
Le ruisseau n'apprend pas à couler dans sa pente, L'aigle à fendre les airs d'une aile indépendante, L'abeille à composer son miel Nouv. méd. V abeille
Et que mes doux regards soient suspendus au tien, Comme l'abeille avide aux feuilles de la rose ib. X abeille
.... Et, changeant la gloire en outrage, T'offrir un triomphe abhorré Médit. XIX. abhorré, ée
Dans l'éternel oubli je dormirais encore ; Mes yeux n'auraient pas vu ce faux jour que j'abhorre Médit. XVIII abhorrer
[Liberté] Tes purs adorateurs, étrangers sur la terre, Voyant dans ces excès ton saint nom s'abolir, Ne le prononcent plus Méd. II, 20 abolir
Harold, le sabre en main, s'élance à l'abordage Harold, 18 abordage
Leurs visages charmants à son corps abouchés Chute d'un ange, 15e vision abouché, ée
Comme l'oiseau du ciel qui vient en tournoyant Enivrer son regard sur ce gouffre aboyant Chute du Rhin. aboyant, ante
S'il est, aux bords déserts du torrent ignoré, Quelque rustique abri de verdure entouré.... Médit. XX abri
Je ne viens pas traîner dans vos riants asiles Les regrets du passé, les songes du futur : J'y viens vivre, et, couché sous vos berceaux fertiles, Abriter mon repos obscur Nouvelles médit. X abriter
Seigneur.... Entends du haut du ciel le cri de mes besoins ; Et, comme le soleil aspire la rosée, Dans ton sein à jamais absorbe ma pensée Médit. XVI absorber
Quel accompagnement sublime Pour les chants inspirés du barde audacieux Que le bruit du canon.... Ép. à A. de Percev. accompagnement
Et toi, Marseille, assise aux portes de la France, Comme pour accueillir ses hôtes dans tes eaux.... Harm. A l'acad. de Marseille. accueillir
D'autres, accumulant pour enfouir encor, Recueillent dans la fange une poussière d'or Harm. IV, 11 accumuler
Que ce rêve est brillant ! mais hélas ! c'est un rêve. Il commençait alors ; maintenant il s'achève Médit. XVIII achever
L'âcreté de mes pleurs Joc. VI, 212 âcreté
[Ô nature] Quoi donc ! n'aimes-tu pas au moins celui qui t'aime ? N'as-tu pas de pitié pour notre heure suprême ? Ne peux-tu, dans l'instant de nos derniers adieux, D'un nuage de deuil te voiler à mes yeux ? Harold, 42 adieu [2]
Vastes cieux, qui cachez le Dieu qui vous a faits ! Terre, berceau de l'homme, admirable palais ! Médit. XVIII admirable
Le voyageur s'arrête étonné de l'entendre, Il écoute, il admire, et ne saurait comprendre D'où partent ces divins soupirs Nouvelles Médit. V admirer
Peut-être, brillantes parcelles De l'immense création, Devant son trône imitent-elles L'éternelle adoration Harm. I, 4 adoration
Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes, Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés ; Ainsi le vent jetait l'écume de tes ondes Sur ses pieds adorés Médit. XII adoré, ée
Si tu dois comme nous achever ta carrière, Sois mon appui, mon guide, et souffre qu'en tous lieux De tes pas adorés je baise la poussière ib. XVII adoré, ée
Et comme ces rois de l'aurore, Un instinct que mon âme ignore, Me fait adorer un enfant Médit. X adorer
Assis à ce degré suprême, Il faut s'y défendre soi-même, Comme les dieux sur leurs autels ; Rappeler en tout leur image, Et faire adorer le nuage Qui les sépare des mortels ib. adorer
Ah ! j'aurais dû peut-être.... Et courbant sous sa foi ma raison qui l'ignore [Dieu], L'adorer dans la langue où l'univers l'adore Harold, 39 adorer
Détestais-tu la tyrannie ? Adorais-tu la liberté ? De l'oppression impunie Ton oeil était-il révolté ?.... Harm. IV, 1 adorer
Les uns, sacrifiant leur vie à leur mémoire, Adorent un écho qu'ils appellent la gloire IV, 11 adorer
Je te jure, à mon tour, de n'adorer que toi Méd. II, 10 adorer
.... cher amour, épanche ta douleur ; J'adoucirai ta peine en écoutant ta plainte, Et mon coeur versera le baume dans ton coeur Nouv. Médit. X adoucir
Si pour caresser sa faiblesse, Sous tes pinceaux adulateurs, Tu parais du nom de sagesse Les leçons de ses corrupteurs.... Médit. XIX. adulateur, trice
Et mon oeil aime à se suspendre à ce foyer aérien ; Et je leur dis sans les comprendre : Flambeaux pieux, vous faites bien Harm. I, 4 aérien, enne
Quel plaisir de.... Manger sur nos genoux nos fruits et notre pain, Nous agacer du coude et nous prendre la main Joc. IX, 342 agacer
Mais ta jeune et brillante image, Que le regret vient embellir, Dans mon sein ne saurait vieillir : Comme l'âme, elle n'a point d'âge Médit. I, 9 âge
Tu cessas de parler : l'oubli, la main des âges Usèrent ce grand nom empreint dans tes ouvrages Médit. I, 28 âge
Dans quelque retraite profonde, Sous les arbres par lui plantés, Nous verrons couler comme l'onde La fin de nos jours agités Médit. I, 25 agité, ée
Ô de la liberté vieille et sainte patrie.... Ton empire est tombé, tes héros ne sont plus ; Mais dans ton sein l'âme agrandie Croit sur leurs monuments respirer leur génie Médit. I, 21 agrandi, ie
Déjà, déjà je nage en des flots de lumière ; L'espace devant moi s'agrandit, et la terre Sous mes pieds semble fuir Médit. I, 27 agrandir
Mais ainsi que des cieux, où son vol se déploie, L'aigle souvent trompé redescend sans sa proie.... Médit. I, 20 aigle
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