Oeuvres et citations de Alphonse de LAMARTINE

1259 citations de l'auteur Alphonse de LAMARTINE (Page 5 sur 32)

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Citation Œuvre Entrée
Un monde est assoupi sous la voûte des cieux ib. II, 4 ciel
Et la moitié du ciel pâlissait, et la brise Défaillait dans la voile, immobile et sans voix ib. II, 2 ciel
Pourquoi vous troublez-vous, enfants de l'Évangile ? à quoi sert dans les cieux ton tonnerre inutile, Disent-ils au Seigneur ?... Harm. I, 5 ciel
Ô nuits, déroulez en silence Les pages du livre des cieux Harm. I, 2 ciel
Venez, enfants du ciel, orphelins sur la terre ; Il est encor pour vous un asile ici-bas Harm. I, 11 ciel
Dieu les amincissant [les contours des blocs de rocher] en immenses spirales Les sculpte comme un lustre au ciel des cathédrales Joc. II, 82 ciel
Nous vîmes une larme, et ce fut la dernière, Sous ses cils abaissés [de Socrate] rouler dans sa paupière Socrate, 371 cil [1]
Il fonde les cités, familles immortelles, Et pour les soutenir il élève les lois, Qui, de ces monuments colonnes éternelles, Du temple social se divisent le poids Harm. II, 10 cité [1]
Et qu'est-ce que la vie ? Un réveil d'un moment ! Labyrinthe sans clef ! question sans réponse ! Harm. III, 9 clef
[Il voyait] .... les feux dispersés dans des nuits embaumées, Calculant sans compas leurs courbes enflammées, Sous la voûte sans clef flottant de toutes parts Harm. II, 12 clef
La clématite en fleurs se suspend aux arcades Harold, v. clématite
Nous parlâmes du coeur, comme deux vieux amis, Au foyer l'un de l'autre à la campagne admis Harm. III, 6 coeur
Je relève sous l'eau les tiges abattues, Je secoue au soleil les coeurs de mes laitues Joc. IX, 281 coeur
J'habitai plus que toi ces fortunés rivages [Savoie], J'adorai, j'aime encor ces monts coiffés d'orages Harm. III, 4 coiffé, ée
[Le crucifix] Aux lèvres du mourant collé dans l'agonie, Comme un dernier ami Méd. II, 22 collé, ée
Et la famille, enracinée Sur le coteau qu'elle a planté, Refleurit d'année en année, Collective immortalité ! Joc. IX, 291 collectif, ive
.... Sur sa pâle main [de Laurence] ma lèvre qui se colle La retint à la vie avec une parole Joc. IV, 160 coller
Là leurs gigantesques fantômes [des nuages] Imitent les murs des cités.... Là s'élèvent des colonnades.... Harm. I, 10 colonnade
Mon père.... plein du grand combat qu'il avait combattu, En racontant sa vie enseignait la vertu Harm. III, 2 combattre
... tout ce qui pense et tout ce qui respire Commença de souffrir Méd. I, 7 commencer
Ainsi je n'irai plus ravir si loin de moi, Dans les secrets de Dieu, ces comment, ces pourquoi Méd. I, 20 comment
Eh quoi ! le lourd compas d'Euclide Étouffe nos arts enchanteurs Méd. I, 10 compas
Il [Dieu] compatit d'en haut à l'erreur qui le prie ; à défaut des clartés, il nous compte un désir Harm. I, 6 compatir
Dors, murmurait Harold, d'une voix comprimée, Toi que je vais quitter.... Harold, VIII comprimé, ée
Les pleurs comptent pour le sourire, Les nuits d'exil pour de beaux jours Harm. III, 4 compter
Cinq vieux chênes germant dans ses concavités [du roc] Y penchent en tous sens leurs troncs creux et voûtés Joc. II, 81 concavité
Il semble que la voix dans les airs égarée, Par cet espace étroit dans ces murs concentrée à notre âme retentit mieux Harm. I, 8 concentré, ée
Nul ne désira plus dans l'autre âme qu'il aime De concentrer sa vie en se perdant soi-même Harm. IV, 11 concentrer
Et la cloche rustique Aux derniers bruits du jour mêle de saints concerts Méd. I, 1 concert
Témoignons pour le Christ, mais surtout par nos vies ; Notre moindre vertu confondra plus d'impies Que le sang d'un martyr Harm. I, 6 confondre
Fables et vérités, ténèbres et lumière Flottent confusément devant notre paupière, Et l'un dit : c'est le jour ! et l'autre : c'est la nuit ! Harm. III, 5 confusément
Adieu, monde fuyant, nature, humanité, Vaine forme de l'être, ombre d'un météore, Nous nous connaissons trop pour nous tromper encore Harm. IV, 11 connaître
Et je sens ce rayon m'échauffer de sa flamme, Et mon coeur se console.... Harm. II, 4 consoler
Quel firmament la nuit constellait dans leur sein [des mers] Chute d'un ange, récit. consteller
Pâle lampe du sanctuaire, Pourquoi, dans l'ombre du saint lieu, Inaperçue et solitaire, Te consumes-tu devant Dieu ? Harm. I, 4 consumer
Quand l'homme faible qui redoute La contagion du malheur Nous laisse seul sur notre route Face à face avec la douleur Harm. I, 9 contagion
Sous ce jour sans rayon [une nuit étoilée], plus serein qu'une aurore, à l'oeil contemplatif la terre semble éclore Harm. II, 4 contemplatif, ive
Là, deux ruisseaux, cachés sous des ponts de verdure, Tracent en serpentant les contours du vallon Médit. I, 6 contour
Aux dons que ta bonté mesure Tout l'univers est convié Harm. I, 7 convier
Une place au sépulcre est un don que l'on brigue ; Les morts vont au tombeau par immenses convois Joc. IX, 336 convoi
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