Oeuvres et citations de Alphonse de LAMARTINE

1259 citations de l'auteur Alphonse de LAMARTINE (Page 2 sur 32)

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Citation Œuvre Entrée
L'aigle, roi des déserts, dédaigne ainsi la plaine ; Il ne veut, comme toi, que des rocs escarpés Que l'hiver a blanchis, que la foudre a frappés ib. I, 2 aigle
Mais la nature est là qui t'invite et qui t'aime ; Plonge-toi dans son sein qu'elle t'ouvre toujours : Quand tout change pour toi, la nature est la même, Et le même soleil se lève sur tes jours Médit. I, 6 aimer
C'est peu de croire en toi, bonté, beauté suprême ; Je te cherche partout, j'aspire à toi, je t'aime ! ib. I, 16 aimer
Qu'un autre vous réponde, ô sages de la terre ! Laissez-moi mon erreur : j'aime, il faut que j'espère Médit. I, 5 aimer
Aimons donc, aimons donc ! De l'heure fugitive, Hâtons-nous, jouissons ! L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive ; Il coule et nous passons ! Médit. I, 13 aimer
Qui que tu sois, Byron, bon ou fatal génie, J'aime de tes concerts la sauvage harmonie, Comme j'aime le bruit de la foudre et des vents Médit. I, 2 aimer
Ah ! c'est là qu'entouré d'un rempart de verdure, D'un horizon borné qui suffit à mes yeux, J'aime à fixer mes pas, et, seul dans la nature, à n'entendre que l'onde, à ne voir que les cieux Médit. I, 6 aimer
Pourquoi pour la justice ai-je aimé de souffrir ? Socrate, 347 aimer
Et toute notre vie était un seul aimer Harm. IV, 11 aimer
Ou l'airain gémissant, dont les sons éperdus Annoncent aux mortels qu'un malheureux n'est plus Médit. I, 5 airain
Ces longues nuits qu'on passe.... à retourner son corps alangui par la fièvre Joc. IV, 162 alangui, ie
Là, sous l'alcôve sombre.... Une jeune beauté dort sur un lit d'ébène Harold, VI alcôve
Comme l'algue fugitive, Sur quelque sable de la rive La vague aura roulé mes os Méd. II, 26 algue
L'air ambiant et pur semblait s'être adouci, Quelques oiseaux posaient sur le givre durci Joc. IV, 147 ambiant, ante
De quel ennui secret ton âme est-elle atteinte ? Me dis-tu : cher amour, épanche ta douleur Méd. II, 10 amour
On entend l'angelus tinter, et d'un saint bruit Convoquer les esprits qui bénissent la nuit Harm. I, 5 angelus
Et ces catastrophes fatales Dont l'histoire enfle ses annales Harm. III, 9 annales
Ses voiles ouvertes et pleines Aspiraient le souffle des flots, Et ses vigoureuses antennes Balançaient sur les vertes plaines Ses ponts chargés de matelots à Mme Desbordes-Valmore. antenne
[Les saintes femmes au tombeau] Croyant parler à l'homme, chose étrange, Leurs regards dessillés s'aperçurent de l'ange Joc. III, 108 apercevoir
Tu n'y vécus pas seul ; sous des formes divines, Tes apparitions peuplèrent ce beau lieu ; Tu voyais tour à tour passer sur ces collines L'esprit de la tempête et le souffle de Dieu Harm. I, 11 apparition
Ton audace à la fin appelle ma vengeance Médit. II, 18 appeler
Portant ma vue, Du sud à l'aquilon, de l'aurore au couchant Méd. I, 1 aquilon
La vigne.... couvre de ses verts arceaux La maison par l'été jaunie Epît. à V. Hugo arceau
Rien d'humain ne battait sous ton épaisse armure Bonaparte. armure
Dans un soir pur de l'arrière - saison Socrate, 809 arrière-saison
Sur cette froide pierre en vain le regard tombe ; ô vertu, ton aspect est plus fort que la tombe Harm. III, 7 aspect
Tant d'aspirations vers son Dieu répétées, Tant de foi dans la mort, tant de vertus jetées En gage à l'immortalité Harm. III, 7 aspiration
Et chaque souffle enfin que j'exhale ou j'aspire Harm. I, 1 aspirer
Mais tu venais asseoir sur leur trône abattu [des faux dieux] Le Dieu de vérité, de grâce et de vertu Harm. III, 5 asseoir
Ceux-ci de la faveur assiégent les sentiers Harm. IV, 11 assiéger
L'haleine de la nuit, qui se brise parfois, Répand de loin en loin d'harmonieuses voix, Comme pour attester.... Que le monde assoupi palpite et vit encore Harm. II, 4 assoupi, ie
Ce qu'il reste à la voile vide Quand le dernier vent qui la ride S'abat sur le flot assoupi ib. III, 9 assoupi, ie
Quand l'homme, ranimant une rage assouvie, Cherche encor la douleur où ne bat plus la vie.... Harm. II, 7 assouvi, ie
Le soir est près de l'aurore ; L'astre à peine vient d'éclore Qu'il va terminer son tour Harm. II, 1 astre
Oh ! que tes cieux sont grands ! et que l'esprit de l'homme Plie et tombe de haut, mon Dieu, quand il te nomme ! Quand, descendant du dôme où s'égaraient ses yeux, Atome, il se mesure à l'infini des cieux ! Harm. II, 4 atome
Me voici : mais que suis-je ? un atome pensant Médit. I, 2 atome
Plus la nuit est obscure, et plus mes faibles yeux S'attachent au flambeau qui pâlit dans les cieux Harm. III, 5 attacher
Sur cette terre déserte Qu'attends-tu ? je n'y suis pas ! Harm. II, 1 attendre
Espérer, attendre, c'est vivre ? Que sert de compter et de suivre Des jours qui n'apportent plus rien ? Harm. III, 9 attendre
Heureux l'homme pour qui la prière attendrie S'élève des lèvres d'autrui ! Il obtient par la voix de l'orphelin qui prie Plus qu'il n'a fait pour lui Harm. III, 10 attendri, ie
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