Oeuvres et citations de Alphonse de LAMARTINE

1259 citations de l'auteur Alphonse de LAMARTINE (Page 7 sur 32)

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Citation Œuvre Entrée
Je suis un cygne aussi ; je meurs, je puis chanter Socr. 342 cygne
Conduire la génisse à la source qu'elle aime, Ou suspendre la chèvre au cytise embaumé Méd. II, 15 cytise
La fleur dort sur sa tige, et la nature même Sous le dais de la nuit se recueille et s'endort Méd. II, 2 dais
Byron, viens en tirer [de ta lyre] des torrents d'harmonie ; C'est pour la vérité que Dieu fit le génie ; Jette un cri vers le ciel, ô chantre des enfers ; Le ciel même aux damnés enviera tes concerts Méd. I, 2 damné, ée
Quelquefois seulement le passant arrêté, Lisant l'âge et la date en écartant les herbes, Et sentant dans ses yeux quelque larme courir, Dit : Elle avait seize ans, c'est bien tôt pour mourir Harm. IV, 10 date
[Esprit de l'homme] Quel charme ou quelle horreur à la fin t'arrêta ? Ce furent ces forêts, ces ténèbres, cette onde, Et ces arbres sans date, et ces rocs immortels Harm. I, 11 date
Humble, et du saint des saints respectant les mystères, J'héritai l'innocence et le Dieu de mes pères Médit. I, 20 de
Notre esprit la reçoit [la foi] à son premier réveil, Comme les dons d'en haut, la vie et le soleil Médit. I, 18 de
La muse t'enivra de précoces faveurs Médit. I, 14 de
Silencieux abîme où je vais redescendre, Pourquoi laissas-tu l'homme échapper de ta main ! De quel sommeil profond je dormais dans ton sein ? ib. I, 18 de
Rougis plutôt, rougis d'envier au vulgaire Le stérile repos dont son coeur est jaloux Médit. I, 14 de
Combien de fois ainsi, trompé par l'existence, De mon sein pour jamais j'ai banni l'espérance ! Médit. 18 de
D'ici je vois la vie, à travers un nuage, S'évanouir pour moi dans l'ombre du passé Médit. VI de
Voyons si la vertu n'est qu'une sainte erreur, L'espérance un dé faux qui trompe la douleur Harm. IV, 11 dé [1]
Le soleil, comme nous, marche à sa décadence Méd. I, 5 décadence
L'infortune et l'exil, et la mort et le temps, Ont en vain décimé tes amis de vingt ans Harm. III, 4 décimer
Si du moins au hasard il [le sort] décimait les hommes Méd. I, 7 décimer
Tes jours, sombres et courts comme les jours d'automne, Déclinent.... Médit. I, 6 décliner
....Les gouttes des fleurs, sur leurs seins [des jeunes filles] découlées, Y roulaient comme autant de perles défilées Joc. I, 34 découlé, ée
....Mon front à large goutte Découlait de sueur.... Joc. IX, 338 découler
En vain l'écho léger.... A porté jusqu'à moi quelques lambeaux de vers, Quelques sons décousus de tes brillants concerts Ép. à C. Delav. décousu, ue
[Nos songes] Égaraient nos molles pensées Dans les dédales de l'amour Méd. II, 1 dédale
Et la moitié du ciel pâlissait, et la brise Défaillait dans la voile, immobile et sans voix Harm. II, 2 défaillir
Les gouttes des fleurs, sur leurs seins [des jeunes filles] découlées, Y roulaient comme autant de perles défilées Joc. I, 34 défilé, ée [4]
Vois : l'infortune assise à la porte du temple [de la gloire] En garde les degrés Méd. I, 14 degré
Serions-nous donc pareils au peuple déicide, Qui, dans l'aveuglement de son orgueil stupide, Du sang de son Sauveur teignit Jérusalem ? Harm. I, 6 déicide [1]
.... aux bords de ton lac enchanté, Loin des sots préjugés que l'erreur déifie Méd. I, 12 déifier
Pendant mon sommeil, si ta main De mes jours déliait la trame, Céleste moitié de mon âme, J'irais m'éveiller dans ton sein Méd. I, 9 délier
Ton pouvoir [ô Christ] n'est plus le caprice Des démagogues et des rois Harm. III, 5 démagogue
Une larme.... c'est là ce funèbre denier, Ce tribut qu'à la mort tout mortel doit payer Harold, 49 denier
[Et vous étoiles] Qui, cadençant vos pas à la lyre des cieux, Nouez et dénouez vos choeurs harmonieux Méd. II, 8 dénouer
Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières, Vains objets dont pour moi le charme est envolé ? Fleuves, rochers, forêts, solitudes si chères, Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé ! Méd. I, 1 dépeuplé, ée
Comme un cygne argenté qui s'élève et déploie Ses blanches ailes sur les eaux Harm. I, 10 déployer
Déposer le fardeau des misères humaines, Est-ce donc là mourir ? Médit. I, 27 déposer
J'ai dénoué ses bras [de Laurence] du corps froid de son père, Et j'ai rendu ce soir la dépouille à la terre Joc. III, 99 dépouille
Si je pouvais laisser ma dépouille à la terre Méd. I, 1 dépouille
Et qu'est-ce que la gloire ? un vain son répété, Une dérision de notre vanité ! Harm. III, 9 dérision
Je promène au hasard mes regards sur la plaine, Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds Médit. I, 1 dérouler
Là le Tasse, brûlé d'une flamme fatale, Expiant dans les fers sa gloire et son amour, Quand il va recueillir la palme triomphale Descend au noir séjour Méd. I, 14 descendre
Repose-toi, mon âme.... L'amitié te trahit, la pitié t'abandonne, Et, seule, tu descends le sentier des tombeaux Médit. I, 6 descendre
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