Oeuvres et citations de Alphonse de LAMARTINE

1259 citations de l'auteur Alphonse de LAMARTINE (Page 12 sur 32)

<< <  7 - 8 - 9 - 10 - 11 - 12 - 13 - 14 - 15 - 16 - 17  > >>
Citation Œuvre Entrée
Déposer le fardeau des misères humaines, Est-ce donc là mourir ? Médit. I, 27 fardeau
Toute âme à ton aspect [de la beauté] ou s'écrie, ou soupire ; Et cet élan, qui suit ta fascination, Semble de notre instinct la révélation Jocel. I, 3 fascination
Devant Dieu caché dans sa fatalité Notre seule science est notre humilité Joc. VI, 233 fatalité
Comme une urne fêlée et dont les flancs arides Laissent fuir l'eau du ciel que l'homme y cherche en vain Harm. IV, 11 fêlé, ée
[Dieu] Fait un écho vivant de nos lèvres muettes, Et dans nos coeurs fêlés verse ses eaux parfaites Harm. III, 6 fêlé, ée
Ah ! qu'à ces vains regrets ton âme soit fermée ! Harm. II, 12 fermé, ée
La nature en ce lieu plus amie et plus douce Festonne les rochers d'arbustes et de mousse Joc. II, 75 festonner
Et l'astre [le soleil], qui tombait de nuage en nuage, Suspendait sur les flots son orbe sans rayon, Puis plongeait la moitié de sa sanglante image, Comme un navire en feu qui sombre à l'horizon Harm. II, 2 feu [1]
Enfant qui joue avec le feu Ép. à M. Léon Bruys d'Ouilly feu [1]
Dieu du jour ! Dieu des nuits ! Dieu de toutes les heures ! Laisse-moi m'envoler sur les feux du soleil ! Harm. I, 2 feu [1]
Mais quand ce feu céleste [l'amour de la gloire] éblouirait ton âme.... Harm. II, 12 feu [1]
Voilà les feuilles sans séve Qui tombent sur le gazon ; Voilà le vent qui s'élève Et gémit dans le vallon Harm. II, 1 feuille
[ô lyre] Si tu veux que mon coeur résonne sous ta main, Tire un plus mâle accord de tes fibres d'airain Méd. II, 15 fibre
Les guerriers aiguisaient le fil de leurs épées Harold, 25 fil
Jamais la main des dieux N'aurait filé des jours plus doux, plus glorieux Méd. II, 3 filer
Généreux favoris des filles de Mémoire, Deux sentiers différents devant vous vont s'ouvrir : L'un conduit au bonheur, l'autre mène à la gloire ; Mortels, il faut choisir Médit. I, 14 fille
Ton coeur était l'or pur caché dans le filon, Qui n'attend pour briller que l'heure et le rayon Harm. III, 6 filon
....Dans le sombre avenir Mon âme avec effroi se plonge ; Et je me dis : ce n'est qu'un songe Que le bonheur qui doit finir Méd. II, 10 finir
[Le coursier] Lance un regard oblique à son maître expirant, Revient, penche sa tête et le flaire en pleurant Méd. II, 15 flairer
Marche au flambeau de l'espérance Jusque dans l'ombre du trépas Méd. I, 8 flambeau
Bien des dates manquaient à ce journal sans suite, Soit qu'il eût déchiré la page à peine écrite, Ou soit que Marthe en eût allumé ses flambeaux Jocel. Prol. flambeau
Tandis que le flambeau, par les heures rongé, S'use pour éclairer l'entretien prolongé Harm. III, 6 flambeau
Il nous faut, dans son cours, Remonter flots à flots le long fleuve des jours Méd. I, 28 fleuve
Ces nuages.... qu'un souffle léger.... Roule en flocons de pourpre aux bords du firmament Médit. I, 16 flocon
Voici le gai matin qui sort humide et pâle Des flottantes vapeurs de l'aube orientale Harm. I, 5 flottant, ante
Au murmure du lac flottant à petit pli, Nous nous sommes levés le coeur déjà rempli Jocel. IV, 124 flotter
L'harmonieux éther, dans ses vagues d'azur, Enveloppe les monts d'un fluide plus pur Harm. II, 4 fluide
Qu'importe ce vain flux d'opinions mortelles Se brisant l'une l'autre en vagues éternelles ? Harm. I, 5 flux
Le dieu des humbles fois descend du ciel sur nous Joc. VI, 230 foi
Nul souci sur son front n'avait laissé son pli ; Tout folâtrait en elle, et ce jeune sourire.... Harm. IV, 10 folâtrer
Je fondais sur le sable et je semais sur l'onde Harm. IV, 4 fonder
Mes jours fondent comme la neige Au souffle du courroux divin Méd. I, 30 fondre
Comme deux rayons de l'aurore, Comme deux soupirs confondus, Nos deux âmes ne forment plus Qu'une âme, et je soupire encore ! Médit. I, 9 former
Terre, élève ta voix ; cieux, répondez ; abîmes, Noir séjour où la mort entasse ses victimes, Ne formez qu'un soupir Médit. I, 7 former
Les forum, les palais s'écroulent, Le temps les ronge avec mépris, Le pied des passants qui les foulent Écarte au hasard leurs débris Harm. I, 8 forum
Tu jettes leur orgueil et leur nom [des méchants] dans la poudre, Et ton doigt les éteint comme il éteint la foudre Quand elle a foudroyé Harm. IV, 12 foudroyer
Quand mes cheveux fouettaient mon front, que les torrents.... Joc. II, 57 fouetter
Il est des jours... Tout bleus, tout nuancés d'éclatantes couleurs, Tout trempés de rosée et tout fragrants d'odeurs Jocel. IV, 124 fragrant, ante
Ces feuilles où tremblent des larmes, Ces fraîches haleines des bois, ô nature, avaient trop de charmes Pour n'avoir pas aussi leur voix Harm. IV, 6 frais, fraîche [1]
Quand le premier amour et la fraîche espérance Nous entr'ouvrent l'espace où notre âme s'élance.... Harm. IV, 11 frais, fraîche [1]
<< <  7 - 8 - 9 - 10 - 11 - 12 - 13 - 14 - 15 - 16 - 17  > >>
Retour à la liste des auteurs