Oeuvres et citations de Alphonse de LAMARTINE

1259 citations de l'auteur Alphonse de LAMARTINE (Page 17 sur 32)

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De labeur en labeur l'heure à l'heure enchaînée Vous porte sans secousse au bout de la journée ; Le jour plein et léger tombe, et voilà le soir Harm. I, 5 jour
Elle [la poésie sacrée].... sur sa lyre virginale Chante au monde vieilli ce jour [le jour de la création], père des jours ib. I, 30 jour
Le soir est près de l'aurore ; L'astre à peine vient d'éclore Qu'il va terminer son tour ; Il jette par intervalle Une lueur de clarté pâle Qu'on appelle encore un jour Harm. II, 1 jour
Qu'est-ce donc que des jours pour valoir qu'on les pleure ? Un soleil, un soleil, une heure, et puis une heure, Celle qui vient ressemble à celle qui s'enfuit Médit. II, 5 jour
Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour ? Méd. I, 13 jour
De Laban l'antique berger Un jour devant lui vit paraître Un mystérieux étranger Médit. II, 6 jour
Vivre, non de ce bruit dont l'orgueil nous enivre, Mais de ce pain du jour qui nourrit sobrement, De travail, de prière et de contentement Harm. I, 5 jour
Crois-tu que ce reflet de la splendeur suprême Soit ce mot profané qui passe tour à tour Du grand homme d'hier au grand homme du jour ? Harm. II, 12 jour
Oui, dans ces jours d'automne où la nature expire, à ses regards voilés je trouve plus d'attraits Médit. I, 29 jour
Salut ! derniers beaux jours ; le deuil de la nature Convient à la douleur et plaît à mes regards ib. I, 29 jour
L'homme vit un jour sur la terre Entre la mort et la douleur Médit. I, 30 jour
Mais vous qui promettez les temps à sa mémoire [du mourant], Mortels, possédez-vous deux jours ? Médit. II, 5 jour
Ils sont enfin venus les jours de ma justice Médit. I, 30 jour
Je repasse en pleurant ces misérables jours ib. I, 30 jour
C'est un ami de l'enfance Qu'aux jours sombres du malheur Nous prêta la Providence Pour appuyer notre coeur Harm. II, 1 jour
Mes jours fondent comme la neige Au souffle du courroux divin Médit. I, 30 jour
Et vous, pourquoi d'un soin stérile Empoisonner vos jours bornés ? Le jour présent vaut mieux que mille Des siècles qui ne sont pas nés ib. II, 4 jour
Toute herbe aux champs est glanée ; Ainsi finit une année, Ainsi finissent nos jours Harm. II, 1 jour
Ton sort, ô Manoel, suivit la loi commune, La Muse t'enivra de précoces faveurs ; Tes jours furent tissus de gloire et d'infortune, Et tu verses des pleurs ! Médit. I, 14 jour
À l'heure où de la nuit le lugubre flambeau D'un pâle demi-jour revêt les sept collines Méd. II, 20 jour
Je pleure dans mon ciel tant d'étoiles éteintes ! Elle fut la première, et sa douce lueur D'un jour pieux et tendre éclaire encor mon coeur Harm. IV, 10 jour
Dans l'éternel oubli j'y dormirais encore [au sein du néant] ; Mes yeux n'auraient pas vu ce faux jour que j'abhorre ; Et dans la longue nuit mon paisible sommeil N'aurait jamais connu ni songes ni réveil Méd. I, 18 jour
De quelque jus divin que Dieu nous la remplisse, Toute l'eau de la vie a le goût du calice Harm. III, 6 jus
Prenons les droits du ciel, et chargeons-nous nous-mêmes Des justices de Dieu Méd. I, 6 justice
Ô lac, l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir. Regarde, je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir Médit. I, 13 lac
Si vous aimez à voir les étoiles éclore, Ou la lune onduler dans la lame des mers Harm. I, 11 lame
Comme une lampe d'or dans l'azur suspendue, La lune.... Médit. I, 16 lampe [1]
Pâle lampe du sanctuaire, Pourquoi, dans l'ombre du saint lieu, Inaperçue et solitaire, Te consumes-tu devant Dieu ? Harm. I, 4 lampe [1]
De son oeuvre imparfaite [le monde] il [Dieu] détourna la face, Et, d'un pied dédaigneux la lançant dans l'espace, Rentra dans son repos Médit. I, 7 lancer
Sur sa lèvre entr'ouverte un désir vague expire, Ou s'épand sur sa bouche en langoureux sourire Joc. III, 114 langoureux, euse
Un de ses bras pendait de la funèbre couche, L'autre, languissamment replié sur son coeur.... Nouv. Médit. II, 22 languissamment
Mon coeur lassé de tout, même de l'espérance Médit. I, 6 lassé, ée
Plus loin voici l'asile où vint chanter le Tasse... La gloire l'appelait, il arrive, il succombe... Et son laurier tardif n'ombrage que sa tombe Médit. I, 21 laurier
Et la lave de mon génie Déborde en torrents d'harmonie, Et me consume en s'échappant Méd. I, 11 lave
La fortune toujours du parti des grands crimes, Les forfaits couronnés devenus légitimes Médit. I, 7 légitime [1]
On voit.... Qu'on me craint, qu'on m'évite, et que je suis pour eux Un objet de dégoût comme un pauvre lépreux Joc. VI, 213 lépreux, euse
Je viens chercher vivant le calme du Léthé ; Beaux lieux, soyez pour moi ces bords où l'on oublie ; L'oubli seul désormais est ma félicité Médit. le Vallon. léthé
Si leurs pieds souvent glissèrent, Si leurs lèvres transgressèrent Quelque lettre de ta loi, Ô père, ô juge suprême, Ne regarde en eux que toi Harm. II, 1 lettre
Levons-nous, et lançons les derniers anathèmes, Prenons les droits du ciel, et chargeons-nous nous-mêmes Des justices de Dieu Médit. I, 6 lever [1]
[Ô lune] Astre ami du repos, des songes, du silence, Tu ne te lèves pas seulement pour les yeux Harm. I, 10 lever [1]
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