Oeuvres et citations de Alphonse de LAMARTINE

1259 citations de l'auteur Alphonse de LAMARTINE (Page 22 sur 32)

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Citation Œuvre Entrée
Sur cette page blanche où mes vers vont éclore, Qu'un regard quelquefois ramène votre coeur ; De votre vie aussi la page est blanche encore ; Que ne puis-je y graver un seul mot : le bonheur ! Pièces div. Vers sur un album. page [1]
Ah ! grâce aux passions que mon coeur se retranche, Puisse toute ma vie être une page blanche ! dans le Dict. de DOCHEZ. page [1]
Je crus voir devant moi Un de ces champions des vérités nouvelles Que les anges de Dieu servaient, couvaient des ailes, ....nourris déjà du pain caché du fort Joc. v, 180 pain
Vois-tu comme le flot paisible Sur le rivage vient mourir ? Médit. Baïa. paisible
D'où me vient, ô mon Dieu, cette paix qui m'inonde ? Harm. I, 5 paix
Comme lui respirons, au bout de la carrière, Ce calme avant-coureur de l'éternelle paix Médit. VI paix
Ah ! c'est que j'ai quitté pour la paix du désert La foule où toute paix se corrompt et se perd Harm. I, 5 paix
La foi.... Jette un rayon d'espoir sur mon pâle avenir Méd. I, 18 pâle
Et la moitié du ciel pâlissait, et la brise Défaillait dans la voile.... Harm. II, 2 pâlir
J'aime à revoir encor, pour la dernière fois, Ce soleil pâlissant dont la faible lumière Perce à peine à mes pieds l'obscurité des bois Méd. I, 29 pâlissant, ante
Et de ses maigres mains les deux palmes dressées Chute d'un ange, 7e vision. palme [3]
Le dieu qu'adore Harold est cet agent suprême, Ce Pan mystérieux, insoluble problème, Grand, borné, bon, mauvais, que ce vaste univers Révèle à ses regards sous mille aspects divers Harold, x pan [2]
Athène à des proscrits ouvre son panthéon Méd. I, 14 panthéon
De colline en colline en vain portant ma vue..., Je parcours tous les points de l'immense étendue Méd. I, 1 parcourir
J'ai passé l'âge heureux où la fleur de la vie, L'amour, s'épanouit et parfume le coeur Harm. Pièces div. à une jeune arabe parfumer
Italie ! Italie ! ah pleure tes collines [de Rome].... Voilà le plus parlant de tes sacrés débris Harm. II, 3 parlant, ante
Comme la giroflée [pend] aux parois des vieux murs Jocelyn, 6e époque. paroi
Lorsque du créateur la parole féconde Dans une heure fatale eut engendré le monde, Des germes du chaos Médit. I, 7 parole
L'obscurité, le doute ont brisé sa boussole [du monde], Et laissent diverger, au vent de la parole, L'encens des nations Harm. I, 6 parole
Portant.... Un secret au malade, aux partants un adieu, Un sourire à chacun, à tous un mot de Dieu Joc. VI, 232 partant [1]
[Le crucifix] Aux lèvres du mourant collé dans l'agonie, Comme un dernier ami, Pour éclaircir l'horreur de cet étroit passage, Pour relever vers Dieu son regard abattu Méd. II, 22 passage
Ô toi, qui m'apparus dans ce désert du monde, Habitante du ciel, passagère en ces lieux Médit. Invocation. passager, ère [2]
Un jour le temps jaloux, d'une haleine glacée, Fanera tes couleurs comme une fleur passée Sur ces lits de gazon Méd. II, 24 passé, ée [1]
....En passant par une lyre, Le souffle même du zéphyre Devient un ravissant accord Méd. II, 24 passer
Je sentis ses doigts froids [de Laurence] saisir ma main contrainte ; Et, quand à ce transport je voulus m'opposer, Son âme avait passé dans ce dernier baiser Joc. IX, 324 passer
À son premier avènement, un an auparavant, il [Louis XVIII] était inconnu de la France ; il se présentait au trône comme un candidat patronné par l'étranger dans le Dict. de DOCHEZ. patronné, ée [1]
Maintenant tout dormait sur sa bouche glacée ; Le souffle se taisait dans son sein endormi ; Et sur l'oeil sans regard la paupière affaissée Retombait à demi Médit. II, 22 paupière
Quand la nuit des mortels a fermé la paupière Médit. II, 17 paupière
En voyant l'étranger, d'un pied silencieux, Fouler avec respect le pavé de ces lieux Harold, 17 pavé [2]
.... Des vieux héros de sa race [duc de Bordeaux] Le premier titre fut l'audace, Et le premier trône un pavois Méd. I, 15 pavois
Que de nuits sans pavots, que de jours sans soleil ! Méd. II, 14 pavot
[à la nuit] L'illusion se glisse en notre âme amollie, Et l'air, plein de silence et de mélancolie, Des pavots du sommeil enivre la raison Harm. II, 6 pavot
Mais nous, pour embraser les âmes, Il faut brûler, il faut ravir Au ciel jaloux ses triples flammes ; Pour tout peindre, il faut tout sentir Méd. I, 11 peindre
Levez donc vos regards vers les célestes plaines, Cherchez Dieu dans son oeuvre, invoquez dans vos peines Ce grand consolateur Méditat. I, 7 peine
Ici-bas la douleur à la douleur s'enchaîne, Le jour succède au jour, et la peine à la peine ib. I, 2 peine
On n'écrit pas la législation de la conscience publique ; on la lit dans l'opinion et dans les moeurs ; le déshonneur en est la pénalité Rapp. à la ch. des dép. Propr. litt. pénalité
....Le char de l'automne au penchant de l'année Roule déjà poussé par la main des hivers Médit. I, 3 penchant [2]
Comme un lis penché par la pluie Méd. II, 14 penché, ée
Il [le Seigneur] sait pourquoi flottent les mondes ; Il sait pourquoi coulent les ondes, Pourquoi les cieux pendent sur nous Méd. II, 4 pendre
Mon Dieu !... Je n'ai point entendu monter jamais vers toi D'accords plus pénétrants, de plus divin langage Que ces concerts muets qui s'élèvent en moi Harm. I, 1 pénétrant, ante
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