Oeuvres et citations de Alphonse de LAMARTINE

1259 citations de l'auteur Alphonse de LAMARTINE (Page 24 sur 32)

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Citation Œuvre Entrée
Lorsque le souvenir de ta grandeur passée Venait, comme un remords, t'assaillir loin du bruit [toi, Napoléon], Et que, les bras croisés sur ta large poitrine.... Méd. II, 7 poitrine
.... Le rayon du soir qui pompe les orages Sur le vallon plus sombre abaissait les nuages Joc. III, 92 pomper
Ici viennent mourir les derniers bruits du monde ; Nautonniers sans étoile, abordez ! c'est le port Médit. la Semaine sainte. port [1]
Et [dans un coucher de soleil] vers l'occident seul, une porte éclatante Laissait voir la lumière à flots d'or ondoyer Harm. II, 2 porte [1]
[Au soir] Les brises du matin se posent pour dormir, Le rivage se tait, la voile tombe vide Harm. II, 6 poser
Du nectar idéal sitôt qu'elle a goûté, La nature répugne à la réalité : Dans le sein du possible en songe elle s'élance, Le réel est étroit, le possible est immense Méd. I, 2 possible
Le regard infini pourrait seul les compter [les insectes] ; Chaque parcelle encor s'y poudroie en parcelle Joc. IV, 134 poudroyer
Mais qu'importe, ô ma bien-aimée, Le terme incertain de nos jours, Pourvu que sur l'onde calmée, Par une pente parfumée, Le temps nous entraîne en son cours ? Méd. II, 15 pourvu que [2]
Ainsi qu'un voyageur.... Comme lui, de nos pieds secouons la poussière Méd. I, 6 poussière
Je vais chercher ailleurs (pardonne, ombre romaine !) Des hommes, et non pas de la poussière humaine Child-Harold, 13 poussière
Insectes, papillons.... Ils roulaient ; et sur l'eau, sur les prés, sur le foin, Ces poussières de vie allaient tomber plus loin Joc. IV, 127 poussière
Hé bien ! le temps sur vos poussières à peine encore a fait un pas Méd. I, 10 poussière
Qu'un autre à cet aspect [celui de la mort] frissonne et s'attendrisse, Qu'il recule en tremblant des bords du précipice Méd. I, 5 précipice
Quand ta voix céleste prélude Aux silences des belles nuits, Barde ailé de ma solitude [le rossignol], Tu ne sais pas que je te suis ! Harm. IV, 6 préluder
Offions, offrons d'abord aux maîtres des humains De l'immortalité cette heureuse prémice Socr. 367 prémices
Roulez dans vos sentiers de flamme, Astres, rois de l'immensité ! Insultez, écrasez mon âme Par votre presque éternité Harm. IV, 9 presque
La vertu ! Eh bien ! pressons ce mot jusqu'à ce qu'il se brise Harold, 17 presser
Je sens que Dieu me presse et qu'il m'appelle à lui Joc. I, 41 presser
Pourquoi vous fermez-vous, maison de la prière [l'église] ? Est-il une heure, ô Dieu, dans la nature entière Où le coeur soit las de prier ? Harm. I, 8 prière
Si la prière enfin de ses pleurs vous inonde, Et devant l'infini fait fléchir vos genoux ib. I, 11 prière
Des cascades l'écume errante Faisait autour de toi, sur un tapis de fleurs, De son prisme liquide ondoyer les couleurs Harold, Déd. prisme
Viens donc, viens détacher mes chaînes corporelles, Viens, ouvre ma prison, viens, prête-moi tes ailes Médit. V prison
Voulez-vous, ô mortels, que ce Dieu se proclame ? Harm. II, 8 proclamer
La société, en constituant toute propriété, a trois objets en vue : rémunérer le travail, perpétuer la famille, accroître la richesse publique Rapp. à la chambre des dép. Propriété litt. propriété
Les uns disaient : la propriété des grandes oeuvres de l'esprit est le patrimoine de la société avant d'être le domaine privé et utile d'une famille quelconque Rapp. à la ch. des dép. Propr. litt. propriété
Les conditions de la propriété artistique ne sont pas identiquement les mêmes que les conditions de la propriété littéraire ib. propriété
Ceux qui.... Ont prostitué l'âme aux vils baisers du corps Socr. 351 prostituer
Oui, je reviens à toi, berceau de mon enfance, Embrasser pour jamais tes foyers protecteurs Méd. II, 15 protecteur, trice
Cette chambre où ma mère, avec sa douce main, Pansait leurs pieds meurtris et leur coupait le pain, Ils l'ont brûlée ; ils ont chassé leur providence Joc. II, 68 providence
Le flot pulvérisé [par la chute] roule en flocons d'écume Rhin, II, 243 pulvérisé, ée
[On] Le voit [le chêne] tout noyé dans l'aurore Pyramider dans le lointain Harmon. II, 9 pyramider
Quelle de mes tristes pensées Avec tes flots n'a pas coulé ? Harm. II, 5 quel, quelle
Mépris des préjugés sous qui rampe la terre Harold, 11 qui
[Un esprit divin].... Qui, plus il a compté de soleils et de jours, Plus il se sent d'élan pour s'élancer toujours Rép. aux adieux de W. Scott. qui
Oui, tu me resteras, ô funèbre héritage [un crucifix] ! Sept fois, depuis ce jour, l'arbre que j'ai planté Sur sa tombe sans nom a changé de feuillage, Tu ne m'as pas quitté Nouv. Médit. le Crucifix. quitter
Pour moi, qui n'ai point pris racine sur la terre, Je m'en vais sans effort, comme l'herbe légère Qu'enlève le souffle du soir Médit. II, 5 racine
Les vents lourds de l'hiver, qui soufflaient par rafales Joc. IX, 327 rafale
Oui, tel est mon espoir, ô moitié de ma vie ! C'est par lui que déjà mon âme raffermie A pu voir sans effroi sur tes traits enchanteurs Se faner du printemps les brillantes couleurs Médit. I, 5 raffermi, mie
Être d'un siècle entier la pensée et la vie, Émousser le poignard, décourager l'envie, Ébranler, raffermir l'univers incertain Médit. II, 7 raffermir
Ô lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure ! Vous que le temps épargne ou qu'il peut rajeunir Médit. XII rajeunir
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