| [La lune].... en pénétrant les ténèbres profondes |
Méd. II, 2 |
pénétrer |
| Oh ! qui m'aurait donné de sonder ta pensée [de toi, Napoléon], Lorsque le souvenir de ta grandeur passée.... |
Méd. II, 7 |
pensée [1] |
| être d'un siècle entier la pensée et la vie |
Méd. II, 7 |
pensée [1] |
| Il est pour la pensée une heure.... une heure sainte, Alors que.... Le crépuscule aux monts prolonge ses adieux |
Méd. II, 8 |
pensée [1] |
| Le ruisseau n'apprend pas à couler dans sa pente |
Nouv. Méd. 5 |
pente |
| J'aime à revoir encor pour la dernière fois Ce soleil pâlissant dont la faible lumière Perce à peine à mes pieds l'obscurité des bois |
Méd. l'Automne |
percer |
| Plus je sonde l'abîme, hélas ! plus je m'y perds |
Méd. I, 2 |
perdre |
| Salut, principe et fin de toi-même et du monde, Toi qui rends d'un regard l'immensité féconde, âme de l'univers, Dieu, père, créateur, Sous tous ces noms divers je crois en toi, Seigneur |
Méd. I, 16 |
père |
| [La poésie sacrée] Chante au monde vieilli ce jour père des jours [la création] |
Méd. I, 30 |
père |
| L'aube.... sème sur les monts les perles de l'aurore |
Méd. I, 16 |
perle |
| Plutarque, en personnificateur de l'histoire, peint plus qu'il ne raconte |
dans le Dict. de POITEVIN. |
personnificateur |
| ....Les pieds nus, de peur qu'on m'entendît marcher, J'ai descendu la pente |
Joc. III, 88 |
peur |
| Vois-tu ce feu lointain trembler sur la colline ? Par la main de l'amour c'est un phare allumé |
Médit. II, 2 |
phare |
| Assis sur la base immuable De l'éternelle vérité, Tu vois d'un oeil inaltérable Les phases de l'humanité |
Méd. I, 19 |
phase |
| Le soleil va porter le jour à d'autres mondes ; à l'horizon désert Phébé monte sans bruit |
Méd. II, 2 |
phébé [1] |
| Mais pourquoi chantais-tu ? Demande à Philomèle Pourquoi, durant les nuits, sa douce voix se mêle Au doux bruit du ruisseau sous l'ombrage roulant |
Méd. II, 5 |
philomèle |
| L'espace qu'en ces lieux je couvre de mon pied A suffi pour ces saints : c'est là qu'ils ont prié |
Harold, 38 |
pied |
| Le pied sur une tombe, on tient moins à la terre ; L'horizon est plus vaste ; et l'âme, plus légère, Monte au ciel avec moins d'effort |
Méd. II, 5 |
pied |
| Vénus se lève à l'horizon ; à mes pieds l'étoile amoureuse De sa lueur mystérieuse Blanchit les tapis de gazon |
Méd. I, 4 |
pied |
| Malheureux girondins ! s'écriait-il [Danton], ils nous ont précipités dans l'abîme de l'anarchie, ils en ont été submergés, nous le serons à notre tour, et déjà je sens la vague à cent pieds au-dessus de ma tête |
Hist. des girondins, XLV |
pied |
| Le rayon qui blanchit ses vastes flancs de pierre [du Colisée] |
Méd. II, 20 |
pierre |
| Malheur à qui des morts profane la poussière ! J'ai fléchi le genou devant leur humble pierre |
Méd. I, 22 |
pierre |
| Ce temple rustique Dont la mousse a couvert le modeste portique, Mais où le ciel encor parle à des coeurs pieux |
Méd. I, 22 |
pieux, euse |
| J'ai retrouvé... Et ces monts, bleus piliers d'un cintre éblouissant, Et mon ciel étoilé d'où l'extase descend |
Harmon. I, 5 |
pilier |
| Et la brise du soir, en mourant sur la plage, Me rapportait tes chants prolongés sur les flots |
Nouv. Méditations, II |
plage |
| ....Sous l'abri sacré du chêne aimé des Francs, Clovis avait planté ses pavillons errants |
Méd. II, 17 |
planter |
| Ici c'est ce vieillard que l'ingrate Ionie A vu de mers en mers promener ses malheurs ; Aveugle, il mendiait au prix de son génie Un pain mouillé de pleurs |
Méd. I, 14 |
pleur |
| Mais pourquoi m'entraîner vers ces scènes passées ? Laissons le vent gémir et le flot murmurer ; Revenez, revenez, ô mes tristes pensées ; Je veux rêver et non pleurer |
Harm. IV, 10 |
pleurer |
| Elle a dormi quinze ans dans sa couche d'argile, Et rien ne pleure plus sur son dernier asile |
ib. |
pleurer |
| Ceux qui l'ont méconnu pleureront le grand homme |
Méd. I, 14 |
pleurer |
| Soit qu'il naisse ou qu'il meure, Il faut que l'homme pleure Ou l'exil ou l'adieu |
Harm. IV, 5 |
pleurer |
| Les poëtes ont dit qu'avant sa dernière heure En sons harmonieux le doux cygne se pleure |
Socrate. |
pleurer |
| Ce n'est qu'une eau qui pleut sur le rocher sonore |
Harm. II, 3 |
pleuvoir |
| Que jamais la gloire ne creuse Sur ce front blanc le moindre pli |
Épit. |
pli |
| Nul souci sur son front n'avait laissé son pli ; Tout folâtrait en elle |
Harmon. IV, 10 |
pli |
| ....Comme un vautour qui plonge sur sa proie, Le malheur, à ces mots, pousse en signe de joie Un long gémissement |
Méd. I, 7 |
plonger |
| Son regard immortel, que rien ne peut tenir... Réveille le passé, plonge dans l'avenir |
Médit. I, 30 |
plonger |
| Mais la nature est là qui t'invite et qui t'aime ; Plonge-toi dans son sein qu'elle t'ouvre toujours |
Méd. I, 6 |
plonger |
| Plus obscure est la nuit, et plus l'étoile y brille |
Rép. aux adieux de W. Scott. |
plus |
| Le Rhin.... dans le gouffre ouvert.... Réunissant enfin tous ses flots à la fois, D'un bond majestueux tombe de tout son poids |
la Chute du Rhin. |
poids |