Oeuvres et citations de Alphonse de LAMARTINE

1259 citations de l'auteur Alphonse de LAMARTINE (Page 23 sur 32)

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Citation Œuvre Entrée
[La lune].... en pénétrant les ténèbres profondes Méd. II, 2 pénétrer
Oh ! qui m'aurait donné de sonder ta pensée [de toi, Napoléon], Lorsque le souvenir de ta grandeur passée.... Méd. II, 7 pensée [1]
être d'un siècle entier la pensée et la vie Méd. II, 7 pensée [1]
Il est pour la pensée une heure.... une heure sainte, Alors que.... Le crépuscule aux monts prolonge ses adieux Méd. II, 8 pensée [1]
Le ruisseau n'apprend pas à couler dans sa pente Nouv. Méd. 5 pente
J'aime à revoir encor pour la dernière fois Ce soleil pâlissant dont la faible lumière Perce à peine à mes pieds l'obscurité des bois Méd. l'Automne percer
Plus je sonde l'abîme, hélas ! plus je m'y perds Méd. I, 2 perdre
Salut, principe et fin de toi-même et du monde, Toi qui rends d'un regard l'immensité féconde, âme de l'univers, Dieu, père, créateur, Sous tous ces noms divers je crois en toi, Seigneur Méd. I, 16 père
[La poésie sacrée] Chante au monde vieilli ce jour père des jours [la création] Méd. I, 30 père
L'aube.... sème sur les monts les perles de l'aurore Méd. I, 16 perle
Plutarque, en personnificateur de l'histoire, peint plus qu'il ne raconte dans le Dict. de POITEVIN. personnificateur
....Les pieds nus, de peur qu'on m'entendît marcher, J'ai descendu la pente Joc. III, 88 peur
Vois-tu ce feu lointain trembler sur la colline ? Par la main de l'amour c'est un phare allumé Médit. II, 2 phare
Assis sur la base immuable De l'éternelle vérité, Tu vois d'un oeil inaltérable Les phases de l'humanité Méd. I, 19 phase
Le soleil va porter le jour à d'autres mondes ; à l'horizon désert Phébé monte sans bruit Méd. II, 2 phébé [1]
Mais pourquoi chantais-tu ? Demande à Philomèle Pourquoi, durant les nuits, sa douce voix se mêle Au doux bruit du ruisseau sous l'ombrage roulant Méd. II, 5 philomèle
L'espace qu'en ces lieux je couvre de mon pied A suffi pour ces saints : c'est là qu'ils ont prié Harold, 38 pied
Le pied sur une tombe, on tient moins à la terre ; L'horizon est plus vaste ; et l'âme, plus légère, Monte au ciel avec moins d'effort Méd. II, 5 pied
Vénus se lève à l'horizon ; à mes pieds l'étoile amoureuse De sa lueur mystérieuse Blanchit les tapis de gazon Méd. I, 4 pied
Malheureux girondins ! s'écriait-il [Danton], ils nous ont précipités dans l'abîme de l'anarchie, ils en ont été submergés, nous le serons à notre tour, et déjà je sens la vague à cent pieds au-dessus de ma tête Hist. des girondins, XLV pied
Le rayon qui blanchit ses vastes flancs de pierre [du Colisée] Méd. II, 20 pierre
Malheur à qui des morts profane la poussière ! J'ai fléchi le genou devant leur humble pierre Méd. I, 22 pierre
Ce temple rustique Dont la mousse a couvert le modeste portique, Mais où le ciel encor parle à des coeurs pieux Méd. I, 22 pieux, euse
J'ai retrouvé... Et ces monts, bleus piliers d'un cintre éblouissant, Et mon ciel étoilé d'où l'extase descend Harmon. I, 5 pilier
Et la brise du soir, en mourant sur la plage, Me rapportait tes chants prolongés sur les flots Nouv. Méditations, II plage
....Sous l'abri sacré du chêne aimé des Francs, Clovis avait planté ses pavillons errants Méd. II, 17 planter
Ici c'est ce vieillard que l'ingrate Ionie A vu de mers en mers promener ses malheurs ; Aveugle, il mendiait au prix de son génie Un pain mouillé de pleurs Méd. I, 14 pleur
Mais pourquoi m'entraîner vers ces scènes passées ? Laissons le vent gémir et le flot murmurer ; Revenez, revenez, ô mes tristes pensées ; Je veux rêver et non pleurer Harm. IV, 10 pleurer
Elle a dormi quinze ans dans sa couche d'argile, Et rien ne pleure plus sur son dernier asile ib. pleurer
Ceux qui l'ont méconnu pleureront le grand homme Méd. I, 14 pleurer
Soit qu'il naisse ou qu'il meure, Il faut que l'homme pleure Ou l'exil ou l'adieu Harm. IV, 5 pleurer
Les poëtes ont dit qu'avant sa dernière heure En sons harmonieux le doux cygne se pleure Socrate. pleurer
Ce n'est qu'une eau qui pleut sur le rocher sonore Harm. II, 3 pleuvoir
Que jamais la gloire ne creuse Sur ce front blanc le moindre pli Épit. pli
Nul souci sur son front n'avait laissé son pli ; Tout folâtrait en elle Harmon. IV, 10 pli
....Comme un vautour qui plonge sur sa proie, Le malheur, à ces mots, pousse en signe de joie Un long gémissement Méd. I, 7 plonger
Son regard immortel, que rien ne peut tenir... Réveille le passé, plonge dans l'avenir Médit. I, 30 plonger
Mais la nature est là qui t'invite et qui t'aime ; Plonge-toi dans son sein qu'elle t'ouvre toujours Méd. I, 6 plonger
Plus obscure est la nuit, et plus l'étoile y brille Rép. aux adieux de W. Scott. plus
Le Rhin.... dans le gouffre ouvert.... Réunissant enfin tous ses flots à la fois, D'un bond majestueux tombe de tout son poids la Chute du Rhin. poids
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