Oeuvres et citations de Alphonse de LAMARTINE

1259 citations de l'auteur Alphonse de LAMARTINE (Page 28 sur 32)

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Citation Œuvre Entrée
Alors je suis tenté de prendre l'existence Pour un sarcasme amer d'une aveugle puissance Harm. IV, 11 sarcasme
[L'homme] Plus grand que son destin, plus grand que la nature, Ses besoins satisfaits ne lui suffisent pas ; Son âme a des destins qu'aucun oeil ne mesure, Et des regards portant plus loin que le trépas Harm. II, 10 satisfait, aite
[La nature] être sans attributs, force sans providence, Exerçant au hasard une aveugle puissance, Vrai Saturne, enfantant, dévorant tour à tour, Faisant le mal sans haine et le bien sans amour Harold, X saturne
[Nos morts] Ils ont souffert ; c'est une autre innocence ! Ils ont aimé ; c'est le sceau du pardon ! Harm. II, 1 sceau
Quand je verrais son globe [de la terre] errant et solitaire Flottant loin des soleils, pleurant l'homme détruit, Se perdre dans les champs de l'éternelle nuit ; Et quand, dernier témoin de ces scènes funèbres.... Méd. I, 5 scène
Non ; du sceptique Harold le doute est la doctrine ; Le croissant ni la croix ne couvrent sa poitrine Harold, 10 sceptique
Mais du Dieu trois fois saint notre injure est l'injure ; Faut-il l'abandonner au mépris du parjure, Aux langues du sceptique ou du blasphémateur ? Harm. I, 6 sceptique
Pour moi, quand le destin m'offrirait à mon choix Le sceptre du génie ou le trône des rois Méd. I, 18 sceptre
Elle [la terre] déroule au loin ses horizons divers Où se joua la main qui sculpta l'univers Harm. II, 4 sculpter
Et j'essuyai mon front que vint sécher la brise Jocelyn, Prologue. sécher
....Et ce que l'homme entend par immortalité, C'est-à-dire un écho qui dure une seconde Harm. III, 6 seconde
Comme lui [le voyageur], de nos pieds secouons la poussière ; L'homme par ce chemin [la vie] ne repasse jamais Médit. VI secouer
Au pied du trône séculaire Où s'assied un autre Nestor [Louis XVIII], De la tempête populaire Le flot calmé murmure encor ! Médit. I, 15 séculaire
Il me semble déjà dans mon oreille entendre De sa touchante voix l'accent tremblant et tendre Jocelyn, Prologue. sembler
Je suis d'un pas rêveur le sentier solitaire Méd. I, 29 sentier
Mais nous [les poëtes], pour embraser les âmes, Il faut brûler, il faut ravir Au ciel jaloux ses triples flammes ; Pour tout peindre, il faut tout sentir Médit. I, 11 sentir
Comme un vautour qui plonge sur sa proie, Le malheur.... Et pressant l'univers dans sa serre cruelle.... Médit. I, 7 serre
Quand l'imposture ou la bassesse Livraient l'innocente faiblesse Aux serres du crime puissant Harm. IV, 1 serre
Et sentir, à défaut de mots cherchés en vain, Tout son coeur me parler d'un serrement de main Jocelyn, Prologue. serrement
Depuis l'heure charmante Où le servant d'amour..., Venait pour une amante Soupirer sous la tour Harm. III, 10 servant
Je lisais [dans Tacite] les crimes de Rome, Et l'empire à l'encan vendu, Et, pour élever un seul homme, L'univers si bas descendu Médit. le Lézard (1846). seul, eule
Et vous, pourquoi d'un soin stérile Empoisonner vos jours bornés ? Le jour présent vaut mieux que mille Des siècles qui ne sont pas nés Méd. II, 4 siècle
Et le siècle qui meurt racontant ses misères Au siècle renaissant ib. I, 7 siècle
Je sifflai vainement le chien du pauvre prêtre Joc. Épil. siffler
Puis un souffle d'en haut se lève, et toute chose Change, tombe, périt, fuit, meurt, se décompose, Comme au coup de sifflet des décorations Harm. IV, 13 sifflet
La trompette a jeté le signal des alarmes Nouv. médit. les Prélud. signal
Un regard, un silence, un accent de sa voix.... ô lyre, en disent plus que ta vaine harmonie Nouv. méd. X silence
Son cercueil est fermé : Dieu l'a jugé ; silence ! Nouv. Médit. Bonaparte silence
[Durant la nuit] Un silence pieux s'étend sur la nature Harm. II, 4 silence
Les échos assoupis ne livrent au zéphire Que des soupirs mourants, de silences coupés Méd. II, 2 silence
Elle [la lune] éclaire de loin la route des étoiles, Et leur sillage blanc dans l'océan d'azur Harm. I, 10 sillage [1]
Et l'homme cependant, cet insecte invisible, Rampant dans les sillons d'un globe imperceptible, Mesure de ces feux [les astres] les grandeurs et les poids Harm. II, 4 sillon
Vivre, non de ce bruit dont l'orgueil nous enivre, Mais de ce pain du jour qui nourrit sobrement, De travail, de prière et de contentement Harm. I, 5 sobrement
Il [l'homme] fonde les cités, familles immortelles ; Et, pour les soutenir, il élève les lois, Qui, de ces monuments colonnes éternelles, Du temple social se divisent le poids Harm. II, 10 social, ale
Le soir ramène le silence ; Assis sur ces rochers déserts, je suis dans le vague des airs Le char de la nuit qui s'avance Médit. I, 4 soir
Qu'un vent vienne à souffler du soir ou de l'aurore.... Harm. I, 5 soir
Comme un soldat debout qui veille sous les armes.... Nouv. Méd. VII soldat
Dans l'abîme sans fond mon regard a plongé ; De l'atome au soleil, j'ai tout interrogé Méd. I, 2 soleil
Quand tout change pour toi, la nature est la même, Et le même soleil se lève sur tes jours Méd. I, 6 soleil
Le soleil de nos jours pâlit dès son aurore Méd. I, 5 soleil
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