Oeuvres et citations de Alphonse de LAMARTINE

1259 citations de l'auteur Alphonse de LAMARTINE (Page 30 sur 32)

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Citation Œuvre Entrée
Que mon bras arrondi t'entoure et te soutienne Sur ces tapis de fleurs Méd. II, 24 tapis
Vénus se lève à l'horizon ; à mes pieds l'étoile amoureuse De sa lueur mystérieuse Blanchit les tapis de gazon Médit. le Soir. tapis
[ô mort] Que tardes-tu ? parais ; que je m'élance enfin Vers cet être inconnu, mon principe et ma fin Médit. v. tarder
[Si j'étais étoile] Je viendrais chaque nuit, tardif et solitaire, Sur les monts que j'aimais briller près de la terre Médit. II, 8 tardif, ive
Action temporisatrice cité dans LEGOARANT temporisateur, trice
[Nos beaux jours] Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface Ne nous les rendra plus ! le Lac. temps
Gloire à toi, dans les temps et dans l'éternité, Éternelle raison, suprême volonté ! Méd. I, 2 temps
Toute âme est soeur d'une âme ; Le monde peut en vain un temps les séparer, Leur destin tôt ou tard est de se rencontrer Joc. III, 101 temps
.... L'âme des chrétiens, prête à quitter le corps, De l'abîme des temps voit déjà les deux bords Joc. v, 188 temps
.... Dans mon jeune temps, le suivant [l'aigle] sur ces cimes, Mon pied comme mon oeil se jouait des abîmes Jocel. II, 73 temps
Il me semble déjà dans mon oreille entendre De sa touchante voix l'accent touchant et tendre Jocelyn, Prol. tendre [1]
Et qu'est-ce que la terre ? une prison flottante, Une demeure étroite, un navire, une tente Harm. III, 9 tente [1]
C'est Dieu, pensais-je, qui m'emporte.... Quels cieux ne tenterons-nous pas ? Harm. III, 9 tenter [1]
C'est au pied de quelques-uns de ces térébinthes, aïeux du térébinthe qui me couvre, que le poëte sacré [David] venait sans doute attendre le souffle qui l'inspirait si mélodieusement Voir en Orient, Jérusalem. térébinthe
Le soir retient ici son haleine expirante, De crainte de ternir la glace transparente Où se mire le firmament Harm. I, 10 ternir
L'ignorance a terni tes lumières sublimes [de l'Évangile] Harm. III, 5 ternir
Voilà donc le séjour d'un peuple, et le murmure De ces innombrables essaims Que la terre produit et dévore à mesure Harm. I, 10 terre
Ô terre, ô mer, ô nuit, que vous avez de charmes ! ib. I, 10 terre
Quel que soit le destin que couve l'avenir, Terre [Italie], enveloppe-toi de ton grand souvenir ! Harm. II, 3 terre
Ah ! nous [chrétiens] n'avons que trop aux maîtres de la terre Emprunté pour régner leur puissance adultère Harm. I, 6 terre
Que ne puis-je, porté sur le char de l'aurore, Vague objet de mes voeux, m'élancer jusqu'à toi ? Sur la terre d'exil pourquoi rester encore ? Il n'est rien de commun entre la terre et moi Médit. I terre
Là, je m'enivrerais à la source où j'aspire ; Là, je retrouverais et l'espoir et l'amour, Et ce bien idéal que toute âme désire, Et qui n'a pas de nom au terrestre séjour Médit. I, 1 terrestre
Malheureux Girondins, s'ecriait Danton, ils nous ont précipités dans l'abîme de l'anarchie, ils en ont été submergés ; nous le serons à notre tour, et déjà je sens la vague à cent pieds au-dessus de ma tête Girondins, XLV tête
Regardez sur les mers cette pompe fleurie ; C'est le vaisseau sacré, l'heureuse théorie Socrate. théorie [2]
Plongé dans le sein de Thétis, Le soleil a cédé l'empire à la pâle reine des nuits Médit. Le golfe de Baïa. thétis
[Crucifix] Dans mes tremblantes mains tu passas, tiède encore De son dernier soupir Médit. II, 22 tiède
Mon coeur est tiède encor des feux de ma jeunesse Harm. II, 12 tiède
L'air soufflait des soupirs, il apportait des nues Des tiédeurs, des odeurs, des langueurs inconnues Joc. IV, 125 tiédeur
Sa voix [de ma mère] a-t-elle encor ce doux timbre d'argent ? Joc. VI, 218 timbre [1]
Les troupeaux dont la cloche Comme un appel lointain tintait de roche en roche Joc. VIII, 89 tinter [1]
La même voix tintait longtemps dans mes oreilles, Et, sortant de mon coeur, m'entretenait tout bas Destinées de la poésie. tinter [1]
Le temps n'a pas encor bruni l'étroite pierre, Et sous le vert tissu de la ronce et du lierre On distingue un sceptre brisé Médit. II, 7 tissu [1]
Tes jours furent tissus de gloire et d'infortune Médit. 14 tissu, ue [2]
Ne souffre pas, mon Dieu, que notre humble héritage Passe do mains en mains troqué contre un vil prix, Comme le toit du vice ou le champ des proscrits ! Harm. III, 2 toit
Et du toit paternel le seuil ou la fumée Harm. II, 12 toit
L'homme est un dieu tombé qui se souvient des cieux Médit. I, 2 tombé, ée
Non, la lyre aux tombeaux n'a jamais insulté Nouv. Médit. Bonaparte. tombeau
Quand la feuille des bois tombe dans la prairie Méd. I, 1 tomber
Ou plutôt que ne puis-je, au doux tomber du jour.... Méd. I, 20 tomber
Le flot fut attentif, et la voix qui m'est chère Laissa tomber ces mots Médit. le Lac. tomber
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