Oeuvres et citations de Alphonse de LAMARTINE

1259 citations de l'auteur Alphonse de LAMARTINE (Page 29 sur 32)

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Ainsi coule la vie en paisibles soleils Harm. I, 5 soleil
J'en jure par la mort : dans un monde pareil, Non, je ne voudrais pas rajeunir d'un soleil ; Je ne veux pas d'un monde où tout change, où tout passe Méd. I, 18 soleil
L'esprit de la prière et de la solitude Qui plane sur les monts, les torrents et les bois, Dans ce qu'aux yeux mortels la terre a de plus rude, Appela de tout temps les âmes de son choix Harm. I, 11 solitude
La voix du laboureur ou de l'enfant joyeux Sollicitant le pas du boeuf laborieux Harm. I, 5 solliciter
Comme un navire en feu qui sombre à l'horizon Harm. II, 2 sombrer [1]
Allez, où sont allés vos pères, Dormir auprès de vos aïeux ; De ce lit où la mort sommeille, On dit qu'un jour elle s'éveille Méd. II, 4 sommeiller
Toi qui donnas son âme et son gosier sonore à l'oiseau que le soir entend gémir d'amour Harm. I, 1 sonore
La chambre de la reine et des enfants offrait la même sordidité cité dans LEGOARANT sordidité
Le peu qui lui restait a passé, sou par sou, En linge, en aliments, ici, là, Dieu sait où Joc. Prol. 29 sou
La chaise où je m'assieds, la natte où je me couche, La table où je t'écris, l'âtre où fume une souche Joc. VI, 227 souche
Ton souffle créateur s'est abaissé sur moi Méd. I, 2 souffle
Il [Dieu] fit l'eau pour couler, l'aquilon pour courir, Les soleils pour brûler, et l'homme pour souffrir Méd. I, 2 souffrir
La flûte dans les bois, et ces chants sur les mers Arrivaient jusqu'à nous sur les soupirs des airs Socrate, 35 soupir
Ah ! si jamais ton luth [de Byron], amolli par tes pleurs, Soupirait sous tes doigts l'hymne de tes douleurs Méd. I, 2 soupirer
Source limpide et murmurante, Qui de la fente du rocher Jaillis en nappe transparente Harm. II, 5 source
Je me souvien D'avoir eu pour ami, dans mon enfance, un chien Joc. III, 120 souvenir [1]
Et toi, Byron.... Le mal est ton spectacle, et l'homme est ta victime Médit. II spectacle
Mais peut-être au delà des bornes de sa sphère [du soleil], Lieux où le vrai soleil éclaire d'autres cieux Méd. I sphère
Tout homme, en te voyant [Byron], reconnaît dans tes yeux Un rayon éclipsé de la splendeur des cieux Méd. II splendeur
Elle voyait grandir et splendir à mesure Du céleste captif la touchante figure Chute d'un ange, 12e vision. splendir
Combien de fois ainsi mon esprit abattu A cru s'envelopper d'une froide vertu, Et, rêvant de Zénon la trompeuse sagesse Sous un manteau stoïque a caché sa faiblesse ! Méd. I, 18 stoïque
Mais puisque de ces bords, comme elle [l'espérance], tu t'envoles, Hélas ! et que voilà tes suprêmes paroles..., Permets-moi de répondre et de t'interroger Mort de Socrate. suprême
Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour ? Médit. I, 13 sur [1]
Feuillages jaunissants sur les gazons épars ! ib. I, 29 sur [1]
J'aimerais à glisser sous la nuit des rameaux, à dormir sur les prés, à flotter sur les eaux ib. II, 8 sur [1]
[Mer] sur quelque plage Que tu me fasses dériver.... Médit. II, 21 sur [1]
Le souffle se taisait dans son sein endormi [d'une morte], Et sur l'oeil sans regard la paupière affaissée Retombait à demi Méd. II, 22 sur [1]
D'où me vient cette foi dont mon coeur surabonde ? Harm. I, 5 surabonder
Comme le filet d'eau qui, surgi de la terre, Y rentre de nouveau par la terre englouti Harm. IV, 11 surgi, ie
Ah ! si mon frêle esquif battu par la tempête, Grâce à des vents plus doux, pouvait surgir au port ! Médit. I, 3 surgir
Comme le flot captif qui, bouillant dans le vase, S'enfle, frémit, s'élève et surmonte ses bords Harold, Déd. surmonter
Soudain le pasteur [Jacob] se dégage Des bras du combattant des cieux, L'abat, le presse, le surmonte, Et sur son sein gonflé de honte Pose un genou victorieux Médit. II, 6 surmonter
Tu sais.... Qu'à cette épaisse nuit qui descend d'âge en âge à peine un nom par siècle obscurément surnage Harm. II, 12 surnager
Et la création, toujours, toujours nouvelle, Monte éternellement la symbolique échelle Que Jacob rêva devant lui [le Verbe] Harm. IV, 13 symbolique
Me préserve Apollon de blasphémer les Grâces !... Ni surtout de Vénus la riante ceinture, Qui d'un noeud sympathique enchaîne la nature Mort de Socrate, 357 sympathique
Salut ! ô sacrés tabernacles, Où tu descends, Seigneur, à la voix d'un mortel ! Harm. I, 8 tabernacle
Mais à ces doux tableaux mon âme indifférente N'éprouve devant eux ni charme ni transport Médit. I tableau
Quant je m'asseois dans ces retraites, Pleines des générations, Où tu ranges sur deux tablettes La sagesse des nations Recueil. poétiques, à A. Martin sur sa bibliothèque. tablette
Maintenant tout dormait sur sa bouche glacée ; Le souffle se taisait dans son sein endormi Sec. Méditations, 22 taire
Mais tandis, ô mon Dieu, qu'aux yeux de ton aurore Un nouvel univers chaque jour semble éclore Harm. I, 3 tandis
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