Oeuvres et citations de Alphonse de LAMARTINE

1259 citations de l'auteur Alphonse de LAMARTINE (Page 20 sur 32)

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Citation Œuvre Entrée
....L'encens qui monte et s'évapore Jusqu'au trône du Dieu que la nature adore Méd. I, 16 monter
Et le char vaporeux de la reine des ombres Monte et blanchit déjà les bords de l'horizon Médit. I, 1 monter
Mais, pour monter à lui [dieu], notre esprit abattu Doit emprunter d'en haut sa force et sa vertu Méd. I, 28 monter
Oui, mon âme se plaît à secouer ses chaînes : Déposant le fardeau des misères humaines, Laissant errer mes sens dans ce monde des corps, Au monde des esprits je monte sans efforts ib. I, 28 monter
Avec nos passions formant sa vaste trame, Celui-là fonde un trône, et monte pour tomber Méd. II, 19 monter
Montez donc vers le ciel, montez, encens qu'il aime, Soupirs, gémissements, larmes, sanglots, blasphème.... Montez, allez frapper les voûtes insensibles Du palais des destins Méd. I, 7 monter
Monument écroulé, que l'écho seul habite ! Pèlerinage de Child-Harold. monument
Peut-être, oui, pardonne, Ô maître de la lyre, Peut-être j'oserais, et que n'ose un amant ? Égaler mon audace à l'amour qui m'inspire, Et, dans des chants rivaux célébrant mon délire, De notre amour aussi laisser un monument Méd. I, 3 monument
Le voyez-vous... Abandonner le mors à son fougueux coursier ? Harold, 32 mors
Les uns [peuples] indomptés et farouches, Les autres rongeant dans leurs bouches Les mors des tyrans et des dieux Harm. IV, 13 mors
Alors qu'entre la vie et la mort incertaine, Comme un fruit par son poids détaché du rameau, Notre âme est suspendue et tremble à chaque haleine.... Méd. II, 22 mort [3]
J'ai vainement cherche le mot de l'univers Méd. I, 2 mot
Prends ton vol, Ô mon âme, et dépouille tes chaînes ; Déposer le fardeau des misères humaines, Est-ce donc là mourir ? Médit. I, 27 mourir
Vois-tu comme le flot paisible Sur le rivage vient mourir ? Médit. Baïa. mourir
...le champ des tombeaux, Où l'herbe moutonnée Couvre, après la journée [après la vie], Le sommeil des hameaux Harm. III, 10 moutonné, ée
Ô lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure ! Médit. le Lac. muet, ette
Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes Médit. le Lac. mugir
Sentiers Creusés sur les coteaux par les boeufs du village, Tout voilés d'aubépine et de mûre sauvage Joc. IV, 137 mûre
Qu'avec crainte et docilité Ta parole en mon coeur mûrisse Harm. I, 7 mûrir
Ma harpe fut souvent de larmes arrosée, Mais les pleurs sont pour nous la céleste rosée ; Sous un ciel toujours pur le coeur ne mûrit pas Médit. II, 5 mûrir
Source limpide et murmurante, Qui de la fente du rocher Jaillis en nappe transparente Sur l'herbe que tu vas coucher Harm. II, 5 murmurant, ante
Voilà donc le séjour d'un peuple et le murmure De ces innombrables essaims Que la terre produit et dévore à mesure Harm. I, 10 murmure
L'onde n'a plus le murmure Dont elle enchantait les bois ; Sous des rameaux sans verdure Les oiseaux n'ont plus de voix ib. II, 1 murmure
Mon coeur à ce réveil du jour que Dieu renvoie.... Murmure en s'éveillant son hymne intérieur, Demande un jour de paix, de bonheur, d'innocence Harm. I, 5 murmurer
Savez-vous son nom [du Seigneur] ? la nature Réunit en vain ses cent voix ; L'étoile à l'étoile murmure : Quel Dieu nous imposa nos lois ? Harm. I, 2 murmurer
Ô lyre, ô mon génie, Musique intérieure, ineffable harmonie Médit. 15 musique
Descends-tu pour me révéler Des mondes le divin mystère ? Médit. le Soir. mystère
Quand, ta main approchant de tes lèvres mi-closes Le tuyau de jasmin vêtu d'or effilé, Ta bouche, en aspirant le doux parfum des roses, Fait murmurer l'eau tiède au fond du narguilé Harm. Pièces div. à une jeune Arabe. narghileh
La main de Napoléon n'y put rien ; il avait soulevé les nationalités, les nationalités l'engloutissaient dans le Dict. de DOCHEZ. nationalité
Ah ! c'est là qu'entouré d'un rempart de verdure, D'un horizon borné qui suffit à mes voeux, J'aime à fixer mes pas, et, seul dans la nature, à n'entendre que l'onde, à ne voir que les cieux Méd. I, 6 nature
Mais la nature est là qui t'invite et qui t'aime ; Plonge-toi dans son sein qu'elle t'ouvre toujours ; Quand tout change pour toi, la nature est la même, Et le même soleil se lève sur tes jours ib. I, 6 nature
Dieu, pour le concevoir, a fait l'intelligence ; Sous la nature enfin découvre son auteur ib. I, 6 nature
Triste comme la mort ? et la mort souffre-t-elle ? Le néant se plaint-il à la nuit éternelle ? Harmon. IV, 11 néant
Du nectar idéal sitôt qu'elle a goûté, La nature répugne à la réalité Méd. I, 2 nectar
En vain une neige glacée D'Homère ombrageait le menton Médit. II, 26 neige
.... Les nerfs brisés de la lyre expirante Sont foulés sous les pieds de la jeune bacchante Mort de Socrate nerf
La vie a dispersé, comme l'épi sur l'aire, Loin du champ paternel les enfants et la mère ; Et ce foyer chéri ressemble aux nids déserts D'où l'hirondelle a fui pendant de longs hivers Harm. III, 2 nid
Ma main nivellera comme une vaste plaine Ses murs et ses palais [du peuple] Méd. I, 30 niveler [1]
Quand le nocher battu par les flots irrités Voit son fragile esquif menacé du naufrage Méd. II, 11 nocher
Un rayon de l'astre nocturne, Glissant sur mon front taciturne, Vient mollement toucher mes yeux Médit. I, 4 nocturne
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