Oeuvres et citations de Alphonse de LAMARTINE

1259 citations de l'auteur Alphonse de LAMARTINE (Page 21 sur 32)

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Citation Œuvre Entrée
.... un autre poëte.... Dans son âme envie et répète Ton hymne nocturne aux forêts Harm. IV, 6 (au rossignol). nocturne
La nuit roule en silence autour de nos demeures Sur les vagues du ciel la plus noire des heures Harm. IV, 11 noir, oire
Tu voudrais cependant que sur un cénotaphe La gloire t'inscrivît ta ligne d'épitaphe, Et promît à ton nom, de temps en temps cité, Ses heures de mémoire et d'immortalité Harm. II, 12 nom
Ce doux repos du coeur qui suit un saint soupir, Ces troubles que d'un mot ton nom vient assoupir, Mon Dieu, donnent à l'âme ignorante et docile Plus de foi dans un jour qu'il n'est besoin pour mille Harm. I, 5 nom
Son nom [de Dieu] tel que la nature Sans paroles le murmure, Tel que le savent les cieux ; Ce nom que l'aurore voile, Et dont l'étoile à l'étoile Est l'écho mélodieux ib. II, 13 nom
Pourquoi le prononcer ce nom de la patrie ? Dans son brillant exil mon coeur en a frémi Harm. III, 2 nom
Notre vie est semblable au fleuve de cristal Qui sort humble et sans nom de son rocher natal Harm. II, 12 nom
Un Brutus qui, mourant pour la vertu qu'il aime, Doute au dernier moment de cette vertu même, Et dit : tu n'es qu'un nom ! Médit. VII nom
Nous répétons les vers de ces hommes divins Qui dérobent des sons aux luths des séraphins, Ornent la vérité de nombre et de mesure, Et parlent par image ainsi que la nature Harm. I, 5 nombre
La nature a deux chants, de bonheur, de tristesse, Qu'elle rend tour à tour ainsi que notre coeur ; De l'une à l'autre note elle passe sans cesse ; Homme, l'une est ta joie, et l'autre ta douleur Harm. II, 6 note
[Et vous, étoiles] Qui, cadençant vos pas à la lyre des cieux, Nouez et dénouez vos choeurs harmonieux Méd. II, 8 nouer
Tant qu'il brille ici-bas, tout astre a son nuage Harold, 22 nuage
Cependant la nuit marche, et sur l'abîme immense Tous ces mondes flottants gravitent en silence Méd. II, 8 nuit
Alors ces globes d'or, ces îles de lumière, Que cherche par instinct la rêveuse paupière, Jaillissent par milliers.... sur les pas de la nuit ib. nuit
Pourquoi balancez-vous vos fronts que l'aube essuie, Forêts qui tressaillez avant l'heure du bruit ? Pourquoi de vos rameaux répandez-vous en pluie Ces pleurs silencieux dont vous baigna la nuit ? Harm. I, 3 nuit
Le soleil a cédé l'empire à la pâle reine des nuits Médit. I, 21 nuit
Qu'est-ce donc que des jours pour valoir qu'on les pleure ? Un soleil, un soleil, une heure et puis une heure, Celle qui vient ressemble à celle qui s'enfuit ; Ce qu'une nous apporte, une autre nous l'enlève : Travail, repos, douleur, et quelquefois un rêve, Voilà le jour, puis vient la nuit Méd. II, 5 nuit
Dans les bras d'une épouse chérie Je goûte obscurément les doux fruits de ma vie Méd. I, 20 obscurément
Comme sur l'Océan la vague au doux roulis, Berçant du jour au soir une algue dans ses plis Harm. I, 5 océan
La lune est dans le ciel, et le ciel est sans voiles ; Elle éclaire de loin la route des étoiles, Et leur sillage blanc dans l'océan d'azur Harm. I, 10 océan
Sur des océans de verdure, Le vent flotte pour s'embaumer Épître à V. Hugo océan
Ainsi toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour ? Méd. I, 13 océan
De son oeuvre imparfaite il [Dieu] détourna sa face Méd. I, 7 oeuvre
Le lierre.... tapisse de verts manteaux Les longues ogives moulées Ép. à V. Hugo ogive
Vois-tu dans la carrière antique, Autour des coursiers et des chars, Jaillir la poussière olympique Qui les dérobe à nos regards ? Méd. I, 19 olympique
Du flanc de ces coteaux pendent des bois épais, Qui, courbant sur mon front leur ombre entremêlée, Me couvrent tout entier de silence et de paix Médit. I, 6 ombre [1]
Toujours échappé d'Athalie, Quelque enfant que le fer oublie Grandit à l'ombre du Seigneur [en parlant du duc de Bordeaux] Méd. I, 15 ombre [1]
Une levrette blanche, au museau de gazelle, Au poil ondé de soie, au cou de tourterelle Joc. III, 120 ondé, ée
Tu donnes.... au lion l'effroi de ses regards, Au cheval l'ondoiement de ses longs crins épars Joc. III, 111 ondoiement
Et ce firmament que retrace Le cristal ondulant des flots Harm. I, 10 ondulant, ante
Sur ton front leurs flots onduleux [de tes cheveux] Méd. I, 9 onduleux, euse
À travers l'ombre opaque et noire Des hauts cyprès du promontoire Harm. I, 10 opaque
Ils [les poëtes] versent.... Cet opium divin que dans sa soif d'extase Le rêveur Orient puise en vain dans son vase Joc. VI, 234 opium
Ses yeux caves, cernés par un filon d'azur, Brillant comme un charbon dans leur orbite obscur Joc. V, 179 orbite
Et son axe de flamme [du jour], aux bords de sa carrière, Tourne, et creuse déjà son éclatante ornière Sur l'horizon roulant des mers Harm. I, 3 ornière
Ces bronzes, ces tambours qui, pleurant les héros, D'un dernier bruit de gloire accompagnent leurs os Harold, 24 os
Le peu qui lui restait a passé sou par sou, En linge, en aliments, ici, là, Dieu sait où Joc. I
Ah ! vous pleurer est le bonheur suprême, Mânes chéris de quiconque a des pleurs ; Vous oublier c'est s'oublier soi-même : N'êtes-vous pas un débris de nos coeurs ? Harm. II, 1 oublier
Ses traits pacifiés semblaient encor garder La douce impression d'extases commencées Jocelyn, Prologue. pacifié, éé
Les cieux pour les mortels sont un livre entr'ouvert.... Chaque siècle avec peine en déchiffre une page Harm. II, 4 page [1]
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