Oeuvres et citations de Alphonse de LAMARTINE

1259 citations de l'auteur Alphonse de LAMARTINE (Page 14 sur 32)

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Citation Œuvre Entrée
D'un autre Sinaï fais flamboyer la cime, Retrempe au feu du ciel la parole sublime, Ce glaive de l'esprit émoussé par le temps Harm. IV, 12 glaive
Et cette force qui renferme Dans un gland le germe du germe D'êtres sans nombres et sans fin Harm. II, 9 gland
Voilà l'enfant des chaumières Qui glane sur les bruyères Le bois tombé des forêts Harm. II, 1 glaner
Quand la cloche des ténèbres Balance ses glas funèbres Harm. II, 1 glas
De toutes les heures.... Aucune à l'oreille insensible Ne sonne d'un glas plus terrible Que ce dernier coup de minuit ib. IV, 4 glas
Couverte de sa voile blanche, La barque, sous son mât qui penche, Glisse et creuse un sillon mouvant Harm. I, 10 glisser
Ainsi tout change, ainsi tout passe ; Ainsi nous-mêmes nous passons, Hélas ! sans laisser plus de trace Que cette barque où nous glissons Sur cette mer où tout s'efface Méd. I, 21 glisser
Tout à coup, détaché des cieux, Un rayon de l'astre nocturne, Glissant sur mon front taciturne ib. I, 4 glisser
Voici l'heure où je viens, à la chute des jours, Me glisser sous ta voûte obscure, Et chercher, au moment où s'endort la nature, Celui qui veille toujours Harm. I, 8 glisser
D'un sein plus arrondi les globes achevés D'un souffle égal et pur abaissés, élevés Méd. Jeune fille. globe
Alors ces globes d'or, ces îles de lumière, Que cherche par instinct la rêveuse paupière, Jaillissent par milliers.... Méd. II, 8 globe
Généreux favoris des filles de Mémoire, Deux sentiers différents devant vous vont s'ouvrir, L'un conduit au bonheur, l'autre mène à la gloire ; Mortels, il faut choisir Méd. I, 14 gloire
Non loin des mêmes bords, plus tard il [le Tasse] vint mourir ; La gloire l'appelait, il arrive, il succombe ; La palme qui l'attend devant lui semble fuir, Et son laurier tardif n'ombrage que sa tombe ib. I, 21 gloire
Mais le temps ? il n'est plus. -Mais la gloire ? qu'importe Cet écho d'un vain son qu'un siècle au siècle apporte, Ce nom, brillant jouet de la postérité ? ib. II, 5 gloire
Dans le stérile espoir d'une gloire incertaine, L'homme livre, en passant, au courant qui l'entraîne, Un nom de jour en jour dans sa course affaibli ; De ce brillant débris le flot du temps se joue ; De siècle en siècle il flotte, il avance, il échoue Dans les abîmes de l'oubli ib. gloire
Gloire, honneur, liberté, ces mots que l'homme adore, Retentissaient pour toi [Napoléon], comme l'airain sonore Dont un stupide écho répète au loin le son ib. II, 7 gloire
Non, la lyre aux tombeaux n'a jamais insulté ; La mort de tout temps fut l'asile de la gloire ; Rien ne doit jusqu'ici poursuivre une mémoire ; Rien.... excepté la vérité ib. II, 7 gloire
La gloire efface tout.... tout excepté le crime ib. gloire
Que ne peut-elle [l'âme], ô mer, sur tes bords qu'elle envie Trouver, comme ta vague, un golfe dans la vie ? Harm. I, 10 golfe
Secoués de leurs gonds antiques, Les empires, les républiques S'écroulent en débris épars Méd. I, 19 gond
Toi qui donnas son âme et son gosier sonore à l'oiseau que le soir entend gémir d'amour Harm. I, 1 gosier
Quand l'avenir n'a plus de charmes, Qui fassent désirer demain, Et que l'amertume des larmes Est le seul goût de notre pain Harm. I, 9 goût
....Que Dieu lui-même puise au lac de sa bonté, Et qu'il donne ici-bas sa goutte à tout le monde Joc. IX, 284 goutte [1]
Où va-t-il ? il gouverne au berceau du soleil [vers l'Orient] Harold, 10 gouverner
Là sous la douleur qui le glace, Ton sourire perdit sa grâce Méd. II, 1 grâce
Je commence à gravir ces gradins de collines.... Joc. II, 72 gradin
Le voyageur.... Trouvant l'herbe grandie ou le sentier plus rude Harm. II, 12 grandi, ie
Un seul passage encore à la fuite est ouvert : Leurs enfants dans les bras, les mères y gravissent Harold, 25 gravir
Que j'aime à contempler dans cette anse écartée La mer qui vient dormir sur la grève argentée, Sans soupir et sans mouvement ! Harm. I, 10 grève [1]
Mon coeur, grossi par mes pensées, Comme tes flots dans ton bassin, Sent, sur mes lèvres oppressées, L'amour déborder de mon sein Harm. II, 5 grossi, ie
Où vont ces rapides nuages, Que roule à flocons d'or l'haleine des autans ? Harm. I, 10 haleine
Tu demandes de moi les haltes de ma vie ? Le compte de mes jours ?... mes jours, je les oublie Harm. III, 6 halte
Nos âmes réunies Hantent les mêmes bords, vivent des mêmes vies Joc. VI, 220 hanter
Qui que tu sois, Byron, bon ou fatal génie, J'aime de tes concerts la sauvage harmonie Méd. I, 2 harmonie
Ces harmonies, prises séparément, semblent n'avoir aucun rapport l'une avec l'autre ; considérées en masse, on pourrait retrouver un principe d'unité dans leur diversité même ; car elles étaient destinées, dans la pensée de l'auteur, à reproduire un grand nombre des impressions de la nature et de la vie sur l'âme humaine Harmon. Avertissement. harmonie
Lorsque le rossignol enivré d'harmonie.... Harm. IV, 3 harmonie
Oui, je le crois, quand je t'écoute, L'harmonie est l'âme des cieux.... L'antiquité l'a dit, et souvent son génie Entendit dans la nuit leur lointaine harmonie Harm. IV, 3 harmonie
Toi qui dis aux forêts : répondez au zéphyre ! Aux ruisseaux : murmurez d'harmonieux accords ! Aux torrents : mugissez ! à la brise : soupire ! à l'océan : gémis en mourant sur tes bords ! Harm. I, 1 harmonieux, euse
Il entendit de loin dans le divin séjour L'harmonieux soupir de l'éternel amour, Les accents du bonheur, les saints concerts des anges Méd. I, 2 harmonieux, euse
L'harmonieux éther, dans ses vagues d'azur, Enveloppe les monts d'un fluide plus pur Harm. II, 4 harmonieux, euse
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