Oeuvres et citations de Alphonse de LAMARTINE

1259 citations de l'auteur Alphonse de LAMARTINE (Page 13 sur 32)

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Citation Œuvre Entrée
Sous cette grotte humide et sombre Nous ne chercherons plus le frais Méd. I, 25 frais, fraîche [1]
Partout l'écume brillante D'une frange étincelante Ceint le bord des flots amers Harm. I, 3 frange
[Nos amis et parents morts] Ils t'ont prié [mon Dieu !] pendant leur courte vie, Ils ont souri quand tu les as frappés Harm. II, 1 frapper
Jamais cette troupe frivole, Qui passe en riant devant moi, N'aura besoin qu'une parole Lui dise : je pleure avec toi Harm. I, 9 frivole
Mon âme avec effroi regarde derrière elle, Et voit son peu de jours passés et déjà froids, Comme la feuille sèche autour du tronc des bois Harm. IV, 11 froid, oide [1]
Pourquoi balancez-vous vos fronts que l'aube essuie, Forêts, qui tressaillez avant l'heure du bruit ? Harm. I, 3 front
Alors qu'entre la vie et la mort incertaine, Comme un fruit par son poids détaché du rameau, Notre âme est suspendue et tremble à chaque haleine Sur la nuit du tombeau Méd. II, 22 fruit [1]
C'est alors que ma paupière Vous vit pâlir et mourir, Tendres fruits qu'à la lumière Dieu n'a pas laissés mûrir ! Harm. II, 1 fruit [1]
Ah ! si dans ces instants où l'âme fugitive S'élance et veut briser le sein qui la captive.... Méd. I, 5 fugitif, ive
Mais les fugitives pensées Ne suivent plus tes flots errants, Comme ces feuilles dispersées Que ton onde emporte aux torrents Harm. II, 5 fugitif, ive
De son pieux espoir son front gardait la trace ; Et sur ses traits frappés, d'une auguste beauté, La douleur fugitive avait empreint sa grâce, La mort sa majesté Méd. II, 22 fugitif, ive
Un monde.... Où tout est fugitif, périssable, incertain, Où le jour du bonheur n'a pas de lendemain ib. I, 18 fugitif, ive
Aimons donc, aimons donc ! de l'heure fugitive, Hâtons-nous, jouissons ib. I, 13 fugitif, ive
Vagues ... Pourquoi secouez-vous votre écume fumante En légers tourbillons ? Harm. II, 3 fumant, ante
Alors semblable à l'ange envoyé du Très Haut, Qui vint sur son fumier prendre Job en défaut Harm. IV, 11 fumier
Un de ses bras pendait de la funèbre couche ; L'autre, languissamment replié sur son coeur, Semblait chercher encore et presser sur sa bouche L'image du Sauveur Nouv. Méd. 22 funèbre
Je ne viens point traîner dans vos riants asiles Les regrets du passé, les songes du futur Méd. II, 15 futur, ure
Adieu, monde fuyant, nature, humanité, Vaine forme de l'être, ombre d'un météore, Nous te connaissons trop pour nous tromper encore Harm. IV, 11 fuyant, ante
Prions ; le jour au jour ne donne point de gage, Et le dernier rayon, en sortant du nuage, Ne nous a pas juré de remonter demain Harm. II, 6 gage
Souvent, dans le secret de l'ombre et du silence, Du gazon d'un cercueil la prière s'élance, Et trouve l'espérance à côté de la mort Méd. II, 5 gazon
La lune se balance aux bords de l'horizon ; Ses rayons affaiblis dorment sur le gazon ib. I, 15 gazon
Gazons entrecoupés de ruisseaux et d'ombrages, Seuil antique où mon père, adoré comme un roi, Comptait ses gras troupeaux rentrant des pâturages.... Méd. II, 15 gazon
Voilà ce qui fait honte ou ce qui fait frémir ; Gémissement que Job oublia de gémir Rép. aux adieux de W. Scott. gémir
L'oreille n'entend rien qu'une vague plaintive, Ou la voix des zéphirs, Ou les sons cadencés que gémit Philomèle Méd. II, 24 gémir
Le vois-tu [le vulgaire] donnant à ses vices Les noms de toutes les vertus, Traîner Socrate aux gémonies.... ? Méd. I, 19 gémonies
Ces générations, inutile fardeau, Qui meurent pour mourir, qui vécurent pour vivre Méd. II, 15 génération
Vous le savez, amis ; souvent, dès ma jeunesse, Un génie inconnu m'inspira la sagesse Mort. de Socr. génie
Mais quoi ! tandis que le génie Te ravit si loin de nos yeux, Les lâches clameurs de l'envie Te suivent jusque dans les cieux Méd. I, 19 génie
Les siècles sont à toi, le monde est ta patrie ; Quand nous ne sommes plus, notre ombre a des autels, Où le juste avenir prépare à ton génie Des honneurs immortels Méd. I, 14 génie
Ami, je n'irai plus ravir si loin de moi, Dans les secrets de Dieu, ces comment, ces pourquoi, Ni du risible effort de mon faible génie, Aider péniblement la sagesse infinie Méd. I, 20 génie
Gercer les lèvres, le visage Mon front hâlé, mes doigts qu'a gercés la froidure D'un jeune montagnard me donnent la figure Joc. v, 174 gercer
Lorsque du créateur la parole féconde Dans une heure fatale eut enfanté le monde Des germes du chaos Méd. I, 7 germe
L'homme, enfant et fruit de la terre, Ouvre les flancs de cette mère Qui germe les fruits et les fleurs Joc. IX germer
Il interdira aux coteaux du Midi de germer l'olive et la vigne pour les hommes du Nord Disc. pron. à Marseille, 14 août 1847 germer
. L'humble giroflée aux lambris suspendue, Comme un doux souvenir fleurit sur des débris Méd. II, 20 giroflée [2]
Montagnes que voilait le regard de l'automne, Vallons que tapissait le givre du matin ! Harm. III, 2 givre [2]
Salut ! brillants sommets, champs de neige et de glace, Vous qui d'aucun mortel n'avez gardé la trace, Vous que le regard même aborde avec effroi Méd. II, 13 glace
Les ans terniront cette glace, Où la nature te retrace Les merveilles du saint des saints Harm. I, 1 glace
Je ne suis plus qu'une pensée, L'univers est mort dans mon coeur, Et sous cette cendre glacée Je n'ai trouvé que le Seigneur Harm. I, 1 glacé, ée
L'enfant dont la mort cruelle Vient de vider un berceau, Qui tomba de la mamelle Au lit glacé du tombeau ib. II, 1 glacé, ée
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