Oeuvres et citations de Alphonse de LAMARTINE

1259 citations de l'auteur Alphonse de LAMARTINE (Page 11 sur 32)

<< <  6 - 7 - 8 - 9 - 10 - 11 - 12 - 13 - 14 - 15 - 16  > >>
Citation Œuvre Entrée
La vie a dispersé, comme l'épi sur l'aire, Loin du champ paternel les enfants et la mère Harm. III, 2 épi
Ma soeur et moi, cédant à tout par complaisance, Du nouveau possesseur épiâmes l'absence Joc. VII, 240 épier [2]
Ce discours déborde de majesté, de douleurs, d'éplorations sublimes dans le Dict. de POITEVIN. éploration
Beaux lieux, recevez-moi sous vos sacrés ombrages ; Vous qui couvrez le seuil de rameaux éplorés, Saules contemporains, courbez vos longs feuillages Sur le frère que vous pleurez Méd. II, 15 éploré, ée
Il sent tarir ses jours comme une onde épuisée, Et son dernier soleil a lui Harm. II, 10 épuisé, ée
Mon coeur, lassé de tout, même de l'espérance, N'ira plus de ses voeux importuner le sort Méd. I, 6 espérance
L'esprit de la prière et de la solitude Qui plane sur les monts, les torrents et les bois.... Harm. I, 11 esprit
Et j'ai dit dans mon coeur : que faire de la vie ? Méd. II, 19 et
De colline en colline et d'étage en étage Les monts, dont le miroir fait onduler l'image, Descendent jusqu'au lit des mers Harm. I, 10 étage
Tes yeux où s'éteignait la vie Rayonnent d'immortalité Médit. I, 9 éteindre
Un silence pieux s'étend sur la nature [pendant la nuit] Harm. II, 4 étendre
Qu'importe ce vain flux d'opinions mortelles Se brisant l'une l'autre en vagues éternelles ? Harm. I, 5 éternel, elle
Roulez dans vos sentiers de flamme, Astres, rois de l'immensité ; Insultez, écrasez mon âme Par votre presque éternité Harm. IV, 9 éternité
L'harmonieux éther, dans ses vagues d'azur, Enveloppe les monts d'un fluide plus pur Harm. II, 4 éther
Les astres.... Dans les champs de l'éther l'un par l'autre heurtés Médit. I, 5 éther
Je contemple sa forme [de Laurence] avec recueillement, Comme un être éthéré tombé du firmament Jocel. IV, 166 éthéré, ée
La lune est dans le ciel et le ciel est sans voiles ; Elle éclaire de loin la route des étoiles, Et leur sillage blanc dans l'océan d'azur Harm. I, 10 étoile
Quand.... Je demande à mon coeur tous ceux qui ne sont plus, Et que, les yeux flottants sur de chères empreintes, Je pleure dans mon ciel tant d'étoiles éteintes Harm. IV, 10 étoile
Là le lac immobile étend ses eaux dormantes Où l'étoile du soir s'élève dans l'azur Méd. I, 1 étoile
Et ce bruit insensé que l'homme croit sublime Se sera pour jamais étouffé dans l'abîme, L'abîme qui n'a plus d'échos Harm. I, 10 étouffer
Tu ceignis en mourant ton glaive sur ta cuisse, Et tu fus demander récompense ou justice Au Dieu qui t'avait envoyé Méd. II, 7 être [1]
Une existence évanouie Ne fait pas baisser d'une vie Le flot de l'être toujours plein Harm. IV, 9 être [2]
Que j'ai bien accompli cette loi de mon être [souffrir] ! Méd. I, 2 être [2]
Ses compagnons [de Byron allant en Grèce] épars, groupés sur le navire, Ne parlent point entre eux de foi ni de martyre, Ni des prodiges saints par la croix opérés, Ni des péchés remis dans les lieux consacrés ; D'un plus fier évangile apôtres plus farouches, Des mots retentissants résonnent sur leurs bouches : Gloire, honneur, liberté, grandeur, droit des humains .... Harold, X évangile
.... un passé qui s'évapore Médit. X évaporer
Et que les saints échos de la voûte sonore Te portent plus brûlant, avant qu'il s'évapore, Le soupir qui te cherche en montant vers les cieux Harm. I, 8 évaporer
[La vie] Songe qui s'évapore, étincelle qui fuit ib. III, 9 évaporer
Mais tandis qu'exhalant le doute et le blasphème Méd. I, 18 exhaler
Dans la nuit du tombeau l'âme s'engloutit-elle ? Tombe-t-elle en poussière ? ou, prête à s'envoler, Comme un son qui n'est plus va-t-elle s'exhaler ? Méd. I, 5 exhaler
Et n'accuse point l'heure Qui te ramène à Dieu ! Soit qu'il naisse ou qu'il meure, Il faut que l'homme pleure Ou l'exil ou l'adieu Harm. IV, 5 exil
Et quand sur cette mer, las de chercher sa route, Du firmament splendide il explore la route, Des astres inconnus s'y lèvent à ses yeux Harm. IV, 13 explorer
Au doux murmure de leurs ondes [des fontaines], Exprimez vos grappes fécondes, Où rougit l'heureuse liqueur Méd. II, 4 exprimer
Ton sein, oppressé par l'extase, Se soulevait sous ses transports Harold, Dédic. extase
Le bronze extravasé doit couler dans le moule Joc. VIII, 259 extravasé, ée
Je crus voir devant moi Un de ces champions des vérités nouvelles Que les anges de Dieu servaient, couvaient des ailes, Et qui, nourris déjà du pain caché du fort, Exultaient du supplice et vivaient de leur mort Joc. v, 180 exulter
Là [en Grèce], l'histoire ou la Fable ont semé leurs grands noms Sur des débris sacrés, sur les mers, sur les monts Harold, X fable
Nous voilà face à face avec la vérité Méd. I, 28 face
....Dieu cruel, fallait-il nos supplices Pour ta félicité ? Méd. I, 7 falloir
Astre inutile à l'homme [la lune], en toi tout est mystère ; Tu n'es pas son fanal, et tes molles lueurs Ne savent pas mûrir les fruits de ses sueurs Harm. I, 10 fanal
Si je pouvais d'un mot évoquer devant toi Les fantômes divins dont ta plume féconde... Réponse aux adieux de W. Scott fantôme
<< <  6 - 7 - 8 - 9 - 10 - 11 - 12 - 13 - 14 - 15 - 16  > >>
Retour à la liste des auteurs