Oeuvres et citations de Alphonse de LAMARTINE

1259 citations de l'auteur Alphonse de LAMARTINE (Page 6 sur 32)

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Citation Œuvre Entrée
La nuit, guidant son cortége d'étoiles, Sur le monde endormi jette ses sombres voiles Méd. I, 16 cortége
Ainsi le trait fatal dans les rangs se promène, Et comme des épis les couche dans la plaine Méd. II, 15 coucher [1]
La brise qui soulève ou couche les épis Harm. I, 5 coucher [1]
On s'arrête, on s'assied, on voit passer la foule Qui sur l'étroit degré se coudoie et se foule Harm. III, 6 coudoyer
Il [le christianisme] coule la pensée En bronze palpable et vivant Harm. IV, 13 couler
Les échos assoupis ne livrent au zéphyre Que des soupirs mourants, de silence coupés Méd. II, 2 coupé, ée [1]
La barque errante Berça sur l'onde transparente Deux couples par l'amour conduits Médit. II, 1 couple
Achève.... C'est le dieu qui règne et qui couronne ; C'est le dieu qui punit, c'est le dieu qui pardonne Méd. II, 7 couronner
Mais toi seul, ô mon Dieu, par siècles tu mesures Ce temps qui sous tes mains coule éternellement ; L'homme compte par jours ; tes courtes créatures Pour naître et pour mourir ont assez d'un moment Harm. IV, 4 court, courte
Quel que soit le destin que couve l'avenir, Terre [Italie], enveloppe-toi de ton grand souvenir Harm. II, 3 couver
Tant qu'aucun souffle ne l'éveille, L'humble foyer couve et sommeille Médit. II, 6 couver
Créateur tout-puissant, principe de tout être ; Toi pour qui le possible existe avant de naître, Roi de l'immensité Méd. I, 7 créateur, trice
Salut, principe et fin de toi-même et du monde, Toi qui rends d'un regard l'immensité féconde ; Ame de l'univers, Dieu, père, créateur, Sous tous ces noms divers, je crois en toi, Seigneur ib. I, 16 créateur, trice
Lorsque du Créateur la parole féconde Dans une heure fatale eut enfanté le monde Des germes du chaos Méd. I, 7 créateur, trice
Femmes, anges mortels, création divine, Seul rayon dont la vie un moment s'illumine Harm. IV, II création
C'est l'heure où la nature, un moment recueillie, Entre la nuit qui tombe et le jour qui s'enfuit, S'élève au créateur du jour et de la nuit, Et semble offrir à Dieu, dans son brillant langage, De la création le magnifique hommage Méd. I, 16 création
La voix de l'univers, c'est mon intelligence ; Sur les rayons du soir, sur les ailes du vent, Elle s'élève à Dieu comme un parfum vivant ; Et, donnant un langage à toute créature, Prête, pour l'adorer, mon âme à la nature Méd. I, 16 créature
Ce monde qui te cache est transparent pour moi ; C'est toi que je découvre au fond de la nature ; C'est toi que je bénis dans toute créature ib. créature
Tu n'étais pas encor, créature insensée, Déjà de ton bonheur j'enfantais le dessein ; Déjà, comme son fruit, l'éternelle pensée Te portait dans son sein Médit. I, 8 créature
Et moi je passe aussi parmi l'immense foule D'êtres créés, détruits, qui devant toi s'écoule Harm. IV, 11 créé, créée
Si la vie et la mort ne sont pas même, hélas ! Deux mots créés par l'homme et que Dieu n'entend pas ! Harm. IV, 11 créé, créée
Une dérision d'un être habile à nuire, Qui s'amuse sans but à créer pour détruire Harm. IV, 11 créer
À l'heure où l'âme solitaire S'enveloppe d'un crêpe noir Et n'attend plus rien de la terre Harm. I, 9 crêpe [1]
On dirait [pendant une nuit claire], en voyant ce monde sans échos, Où l'oreille jouit d'un magique repos, Où tout est majesté, crépuscule, silence.... Harm. II, 4 crépuscule
Il est pour la pensée une heure.... une heure sainte Alors que, s'enfuyant de la céleste enceinte, De l'absence du jour pour consoler les cieux, Le crépuscule aux monts prolonge ses adieux Méd. II, 7 crépuscule
Dans le creux du rocher, sous une voûte obscure, S'élève un simple autel Méd. I, 26 creux [2]
Entends du haut des cieux le cri de nos besoins Méd. I, 16 cri
Rendons grâce à lui seul [Dieu] du rayon qui nous luit, Sans nous enfler d'orgueil et sans crier ténèbres Aux enfants de la nuit Harm. I, 6 crier
Est-ce un dieu qui trompe le crime ? Toujours d'une auguste victime Le sang est fertile en vengeur ! Toujours, échappé d'Athalie, Quelque enfant que le fer oublie, Grandit à l'ombre du Seigneur Méd. I, 15 crime
La fortune toujours du parti des grands crimes, Les forfaits couronnés devenus légitimes ib. I, 7 crime
L'air siffle, le ciel se joue Dans la crinière des flots Harm. I, 3 crinière
Enfin mon pied crispé touche au bord de l'abîme Rhin, II, 242 crispé, ée
Notre humble ruisseau.... Déroule sa nappe argentine Et dans son onde cristalline Aime à bercer le doux rayon Ép. à V. Hugo cristallin, ine
Lorsque, les bras croisés sur sa large poitrine.... Nouv. méd. 7 croisé, ée [1]
Jusqu'au jour, où des morts perçant la voûte sombre, Une voix, dans le ciel les appelant sept fois, Ensemble éveillera ceux qui dorment à l'ombre De l'éternelle croix Méd. 22 croix
Deux soldats.... Leurs crosses à l'épaule avançaient sur sa trace Joc. III, 94 crosse
Ces gigantesques monts crouleront à leur tour Harm. II, 3 crouler
Je n'osais ! ... mais le prêtre entendit mon silence, Et, de ses doigts [de la morte] prenant le crucifix : Voilà le souvenir et voilà l'espérance ; Emportez-les, mon fils Nouv. méd. 22 crucifix
Le curé ne doit connaître ni saisons, ni distance, ni contagion, ni soleil, ni neige, s'il s'agit de porter l'huile au blessé, le pardon au coupable, ou son Dieu au mourant dans le Dict. de DOCHEZ. curé [1]
Coupable ou malheureux, vous n'avez rien à taire ; Pardonner, soulager, c'est tout mon ministère ; Je suis l'oeil et la main et l'oreille de Dieu, Sa providence à tous, le curé de ce lieu ib. curé [1]
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