Citation de MOLIÈRE extraite de l'article "long, ongue" du dictionnaire de français Littré
Ai-je pris sur moi-même un assez long empire ?
(Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE, Mis. V, 7)
Citation |
Œuvre |
Entrée |
Çà, je veux étouffer le courroux qui m'enflamme, Et tout du long t'ouïr sur ta commission |
Amph. II, 1 |
long, ongue |
Je vous ai laissés tout du long quereller |
Tart. II, 4 |
long, ongue |
C'est véritablement la tour de Babylone, Car chacun y babille et tout du long de l'aune |
Tart. I, 1 |
long, ongue |
Donnons-en à ce fourbe et du long et du large |
l'Ét. IV, 7 |
long, ongue |
Une longe de veau de rivière, blanche, délicate, et qui, sous les dents, est une vraie pâte d'amande |
Bourg. gent. IV, 1 |
longe [2] |
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Citation |
Auteur |
Œuvre |
Entrée |
Un jour, sur ses longs pieds, allait je ne sais où Le héron au long bec emmanché d'un long cou |
LA FONTAINE
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Fabl. VII, 4 |
long, ongue |
En longs habits de lin |
RACINE
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Ath. II, 1 |
long, ongue |
On ne concevait pas comment la tête de cette colonne pourrait traîner et soutenir, dans une si longue route, une aussi lourde masse d'équipages |
SÉGUR
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Hist. de Nap. IX, 1 |
long, ongue |
Le divorce est signé de cette même main Que l'on voit à longs flots verser le sang romain |
VOLTAIRE
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Triumv. I, 2 |
long, ongue |
D'où vient qu'en m'écoutant, vos yeux, vos tristes yeux Avec de longs regards se tournent vers les cieux ? |
RACINE
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Brit. V, 1 |
long, ongue |