Citation de HAUTEROCHE extraite de l'article "souffleter" du dictionnaire de français Littré
Ainsi je crois, monsieur, qu'un soufflet qui se donne D'une main attachée à choisir la personne, Offense beaucoup plus que quand le souffletant S'emporte à souffleter sans connaître....
(Noël LEBRETON, sieur de HAUTEROCHE, Nobles de province, IV, 5)
Citation | Œuvre | Entrée |
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Oh ! oh ! tu m'avais pris pour un souffre-douleur | Nobles de province, II, 3 | souffre-douleur |
C'est comme un sanglier qui se tient dans la souille | Bourg. de qual. II, 4 | souille [1] |
L'incommode soupeuse ! | Soup. mal apprêté, sc. 11 | soupeur, euse |
Mais j'ai plus à vous dire : il s'est à la sourdine Marié depuis peu | le Deuil, 14 | sourdine |
Une bouche, des yeux, un souris fin et tendre | Bourg. de qual. III, 6 | souris [1] |
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Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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Elle avait au bout de ses manches Une paire de mains si blanches, Que je voudrais en vérité En avoir été souffleté | SCARRON | Poés. div. Oeuvr. t. VII, p. 139, dans POUGENS | souffleter |
On le veut lier [Jésus], il présente les mains ; on le veut souffleter, il tend les joues | BOSSUET | 1er sermon sur la passion, II | souffleter |
Et moi, je ne crois pas Qu'il soit digne du peuple en qui Dieu se reflète De joindre au bras qui tue une main qui soufflette | HUGO | Voix, II | souffleter |