Citation de ROUSSEAU extraite de l'article "magnifique" du dictionnaire de français Littré

Après bien des séances et de mûres délibérations, le magnifique conseil des deux cents prononça que Jésus n'était mort que pour le salut des élus : on conçoit bien que ce jugement fut une affaire de faveur, et que Jésus serait mort pour les damnés si le professeur Tronchin avait eu plus de crédit que son adversaire

(Jean-Jacques ROUSSEAU, Lett. de la Mont. 5e lett.)