Oeuvres et citations de François de Salignac de La Mothe FÉNELON

Oeuvres de François de Salignac de La Mothe FÉNELON

  • Dialogues des morts (????)
  • Télémaque (1699)
  • Traité de l'éducation des filles (1687)
  • Traité de l'existence de Dieu (1713)

3677 citations de l'auteur François de Salignac de La Mothe FÉNELON (Page 1 sur 92)

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Citation Œuvre Entrée
À l'entendre, rien n'était difficile Tél. XVI à
Ne vous laissez point abattre à la douleur Tél. XXIII à
Ne vous laissez point vaincre à votre malheur ib. II à
Attendez à les lui donner quand il aura assez de force Tél. XX à
Le feu demeure caché dans les veines des cailloux, et il attend à éclater jusqu'à ce que le choc d'un autre corps l'excite Exist. de Dieu, 15 à
Solon passa à Chypre Solon à
Il faut, dit saint Augustin, parler d'une façon abaissée et familière pour instruire t. XXI, p. 167 abaissé, ée
Une femme, nommée Pantée, était abandonnée de tous les médecins Empéd. abandonné, ée
Alors je compris par expérience ce que j'avais souvent ouï dire à Mentor, que les hommes mous et abandonnés aux plaisirs manquent de courage dans les dangers Tél. IV abandonné, ée
J'ose dire qu'il n'y a point de pécheur si abandonné qui porte jusque-là le désespoir ib. t. I, p. 386 abandonné, ée
Le courage les abandonne Tél. XVI abandonner
Comme un malade désespéré qu'on abandonne ib. VII abandonner
Comme il avait un désir extraordinaire de s'instruire et de connaître les moeurs des étrangers, il abandonna sa patrie et tout ce qu'il avait pour voyager Philos. Pythag. abandonner
Télémaque s'abandonnait à une douleur amère Tél. XVI abandonner
Astarbé s'abandonna à son ressentiment ib. III abandonner
Jamais on n'a vu votre empire si lâche, si abâtardi, si indigne des anciens Romains t. XIX, p. 180 abâtardi, ie
Comme la pluie abat et fait languir le soir une fleur qui était le matin, pendant la naissance de l'aurore, la gloire et l'ornement des vertes campagnes Tél. XX abattre
Le vrai courage ne se laisse jamais abattre Tél. XX abattre
Pour abattre leur orgueil ib. II abattre
Le coeur de son père se repose sur elle, comme un voyageur abattu par les ardeurs du soleil se repose à l'ombre sur l'herbe tendre Tél. XXII abattu, ue
La douce vapeur du sommeil ne coule pas plus doucement dans les yeux appesantis et dans tous les membres fatigués d'un homme abattu que les paroles flatteuses de la déesse s'insinuaient pour enchanter le coeur de Mentor ib. VII abattu, ue
Tout à coup le terrain s'affaisse et ouvre un abîme Tél. XX abîme
L'homme impatient est entraîné dans un abîme de malheurs Tél. XXIV abîme
comme les poissons dans la mer Tél. XIX. abîme
J'étais abîmé dans la plus amère douleur Tél. II abîmé, ée
Bacchus était tel qu'il parut à la malheureuse Ariane, lorsqu'il la trouva seule, abandonnée et abîmée dans la douleur sur un rivage inconnu ib. XVII abîmé, ée
Nous ne pouvons abîmer Télémaque dans les flots de la mer Tél. XIX. abîmer
Par leur frugalité et leur travail, ils se sont mis dans l'abondance des choses nécessaires à une vie simple Tél. VI abondance
Ce peuple est dans l'abondance Tél. II abondance
Si vous mettez les peuples dans l'abondance ib. XII abondance
Ils jouissent de l'abondance ib. v. abondance
Il faudrait que la bouche parlât selon l'abondance du coeur t. XXI, p. 103 abondance
Dieu n'a qu'à vouloir, et les choses sont d'abord faites t. XVIII, p. 288 abord
Déjà il se préparait, selon l'ordre qu'il en avait reçu, à aller aborder secrètement dans une petite île qui est auprès de la grande Tél. IX aborder
Les marchands y abordent [à Tyr] de toutes les parties du monde, et ses habitants sont eux-mêmes les plus fameux marchands qu'il y ait dans l'univers Tél. III aborder
Ses cheveux se dressent sur sa tête quand il aborde le noir séjour de l'impitoyable Pluton Tél. XVIII aborder
Il m'aborda avec amitié Tél. II aborder
Leurs voiles étaient meilleures que les nôtres ; le vent les favorisait ; ils nous abordent, nous prennent, et nous emmènent prisonniers en Égypte Tél. II aborder
Tu étais, Caton, comme un chien qui aboie contre tous les passants t. XIX, p. 285 aboyer
Les plaisirs pris sans modération abrègent plus les jours des hommes que les remèdes ne peuvent les prolonger Tél. XVII abréger
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