Citation de ROLLIN extraite de l'article "funérailles" du dictionnaire de français Littré
Après sa mort [d'Aristide], on ne trouva point chez lui de quoi faire les frais de ses funérailles
(Charles ROLLIN, Traité des Ét. liv. V, 3e part. ch. 2)
Citation |
Œuvre |
Entrée |
Xénophon écrit que ce fut la plus furieuse de toutes les batailles qui eussent été données de son temps |
Hist. anc. Oeuv. t. IV, p. 288, dans POUGENS |
furieux, euse |
Il n'y eut jamais d'ambition plus folle, disons-mieux, plus furieuse que celle de ce prince |
Hist. anc. Oeuv. t. VI, p. 619, dans POUGENS |
furieux, euse |
La nouvelle d'une révolution en Macédoine lui fit prendre la résolution de sortir furtivement de Thèbes |
Hist. anc. Oeuv. t. VI, p. 14, dans POUGENS |
furtivement |
Après quoi, ayant reproché aux prêtres leur stupidité, il [Cambyse] les fit cruellement fustiger |
Hist. anc. Oeuv. t. II, p. 324, dans POUGENS |
fustiger |
Elle ne gagna rien sur l'esprit de ces barbares |
Hist. anc. Oeuv. t. x, p. 60 |
gagner |
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