Citation de J. D'ORTIGUE extraite de l'article "valeur" du dictionnaire de français Littré

Autrefois la valeur des notes n'était pas réglée sur la notion de la mesure, c'est-à-dire sur une division mathématique du temps ; elle se rapportait à la quantité des syllabes, à la prosodie ou rhythme poétique ; et, selon que le rhythme qui en résultait était ternaire ou binaire, les valeurs étaient également ternaires ou binaires, parfaites dans le premier cas, imparfaites dans le second cas

(J. D'ORTIGUE, Dict. de plain-chant, valeur.)