Citation de CORNEILLE extraite de l'article "faiblesse" du dictionnaire de français Littré
C'est faiblesse d'attendre Le mal qu'on voit venir, sans vouloir s'en défendre
(Pierre CORNEILLE, Pomp. II, 4)
Citation |
Œuvre |
Entrée |
C'est faiblesse d'aimer qui ne vous aime pas |
Suréna, III, 3 |
faiblesse |
Prince, ne cachez plus ce que le ciel découvre, Vous devez être las de nous faire faillir |
D. Sanche, IV, 2 |
faillir |
Mais je dénie qu'ils faillent contre les règles |
Épître à la Suite du Menteur. |
faillir |
Non pas que je ne faille en cette préférence |
Médée, II, 6 |
faillir |
Quand le bras a failli, l'on en punit la tête |
Cid, II, 9 |
faillir |
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Citation |
Auteur |
Œuvre |
Entrée |
Je ne sais ce que j'ai : je suis sans fièvre, je tousse moins, je dors très bien ; mais ma faiblesse est extrême |
MAINTENON
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Lett. à Mme Glapion, t. III, p. 200, dans POUGENS |
faiblesse |
Elle [l'âme] ne doit plus se regarder elle-même, ni s'arrêter à la disproportion qu'elle trouve entre sa faiblesse et les difficultés de la voie où Dieu l'appelle |
MASSILLON
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Profess. rel. Serm. 1 |
faiblesse |
Au commencement de la carrière, il nous soutient par des consolations sensibles ; c'est un lait dont il nourrit notre faiblesse |
MASSILLON
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ib. Serm. 2 |
faiblesse |
Vous comprenez bien que l'intention de l'Église, en vous permettant l'usage des mets défendus, est de soulager votre faiblesse, et non d'aider votre sensualité |
MASSILLON
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Carême, Jeûne. |
faiblesse |
Ceux dont la tendre enfance N'avait que la faiblesse et des pleurs pour défense |
VOLTAIRE
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Orphel. I, 2 |
faiblesse |