Citation de MARIVAUX extraite de l'article "pousser" du dictionnaire de français Littré
C'est maintenant qu'il faut dire : Va comme je te pousse ; vive l'amour, mon cher maître
(Pierre de MARIVAUX, Surpr. de l'amour, III, 5)
Citation | Œuvre | Entrée |
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Voici un jeune homme qui vous convient, qui est fort honnête garçon, que je pousserai | Marianne, 6° part. | pousser |
Vous voilà on ne peut pas mieux, ajouta-t-elle en me prenant par la main pour me faire asseoir | Pays. parv. part. IV | pouvoir [1] |
La coutume, en faisant un livre, c'est de commencer par un petit préambule ; en voilà un | Pays. parv. part. I | préambule |
De la façon dont ce drôle-là prélude, il ne vous promet rien de bon | Double inconst. I, 4 | préluder |
Son coeur n'est pas usé pour moi, il n'est seulement qu'un peu rassasié du plaisir de m'aimer, pour en avoir trop pris d'abord | Marianne, part. 8 | prendre |
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