Citation de SÉVIGNÉ extraite de l'article "trêve" du dictionnaire de français Littré
C'est une bonté de la Providence que nous fassions trêve aux tristes réflexions qui seraient en droit de nous accabler journellement
(Marie de Rabutin-Chantal, marquise de SÉVIGNÉ, 1 juill. 1685)
Citations d'autres auteurs extraites de l'article "trêve" du dictionnaire de français Littré
| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|---|
| M. le maréchal de Créquy leur avait refusé une trêve pour enterrer leurs morts | PELLISSON | Lett. hist. t. II, p. 414 | trêve |
| Après avoir perdu la bataille et demandé lui-même une trêve qui lui fut incontinent accordée | FLÉCHIER | Hist. de Théodose, II, 65 | trêve |
| Le roi a enfin pris des mesures pour avoir la paix ; ses ministres à Ratisbonne ont ordre de signer une trêve de vingt ans | MAINTENON | Lett. à Mme de St Géran, 13 août 1684 | trêve |
| À condition que les princes et les États protestants ne feraient ni paix ni trêve avec l'empereur, que du consentement de la France et de la Suède | VOLTAIRE | Ann. Emp. Ferdinand II, 1634 | trêve |
| Quand chaque seigneur faisait en France la guerre ou la paix, la religion donna des trêves qui devaient avoir lieu dans de certaines saisons | MONTESQUIEU | Esp. XXIV, 16 | trêve |