Citation de DIDEROT extraite de l'article "volaille" du dictionnaire de français Littré
Ce n'est pas à vous ni à Mme de Blacy, qui êtes deux volailles mortes, que je m'adresse ; il vous est permis d'être malades tant qu'il vous plaira
(Denis DIDEROT, Lett. à Mlle Voland, 8 oct. 1768)
Citation |
Œuvre |
Entrée |
Ce n'est pas un grand ouvrage, mais c'est l'ouvrage d'un grand peintre ; ce qu'on peut toujours dire des feuilles volantes de Voltaire ; on y retrouve le signe caractéristique, l'ongle du lion |
Salon de 1767, Oeuv. t. XIV, p. 251, dans POUGENS |
volant, ante [1] |
Les grandes robes de la magistrature et leurs plis volumineux |
Salon de 1765, Oeuvr. t. XIII, p. 334 |
volumineux, euse |
L'affliction devient la volupté lugubre d'une âme infortunée |
Cl. et Nér. II, 44 |
volupté |
Il paraît que le mot volupté mal entendu rendit Epicure odieux |
Cl. et Nér II, 69 |
volupté |
Quelle pure volupté on trouve dans la vertu ! Toute volupté naît, ou de la sensation d'un objet présent, et elle est sensuelle ; ou de l'attente d'une chose, de la prévoyance des fins, de l'importance des suites, et elle est intellectuelle |
Opin. des anc. phil. (hobbisme). |
volupté |
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