Citation de D'ALEMBERT extraite de l'article "remonter" du dictionnaire de français Littré
Ces hommes orgueilleux et vils, qui regardent les gens de lettres comme des espèces d'animaux destinés à combattre dans l'arène pour le plaisir de la multitude, descendraient alors de l'amphithéâtre, et verraient leurs juges y remonter
(Jean Le Rond D'ALEMBERT, Ess. sur la soc. des g. de lett. Oeuv. t. III, p. 88, dans POUGENS.)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| On vient, dit-on, de faire imprimer sa généalogie [de Pompignan], qui remonte, par une filiation non interrompue, depuis lui jusqu'à son père | Lett. à Voltaire, 16 juin 1760 | remonter |
| En quelque matière que ce soit, nous devons désespérer de remonter jamais aux premiers principes, qui sont toujours pour nous derrière un nuage | Réfl. sur le goût, Oeuvr. t. III, p. 416, dans POUGENS. | remonter |
| Pour ne point remonter trop haut, fixons-nous à la renaissance des lettres | Disc. prélim. encyclop. Oeuv. t. I, p. 248, dans POUGENS. | remonter |
| Quand même notre littérature se remonterait, je doute qu'elle puisse de longtemps produire un homme aussi rare [Voltaire], et qui réunisse tant de talents à un si haut degré | Lett. au roi de Pr. 19 sept. 1779 | remonter |
| La pièce, après quelques représentations, disparut du théâtre pour ne s'y remontrer jamais | Éloges, Genest, note 2 | remontrer |
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