Citation de BUFFON extraite de l'article "polaire" du dictionnaire de français Littré
Ces oiseaux [les goëlands] déposent par milliers leurs oeufs et leurs nids jusque sur les terres glacées des deux zones polaires
(Georges Louis Leclerc, comte de BUFFON, Ois. t. XVI, p. 180)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| Un corps poli semble être plus froid s'il est froid, et plus chaud s'il est chaud, qu'un corps brut de même matière, quoiqu'ils le soient tous deux également | Histoire min. Introd. Part. exp. Oeuvr. t. VI, p. 207 | poli, ie |
| Il [le jade] est doux au toucher, et ne prend jamais qu'un poli gras | Min. t. I, p. 77 | poli, ie |
| Rien ne démontre mieux la distance immense qui se trouve entre l'homme sauvage et l'homme policé que les conquêtes de celui-ci sur les animaux | t. VIII, p. 279 | policé, ée |
| Je pris des miroirs de métal de différents foyers et de différents degrés de poliment | Hist. min. Introd. part. exp. Oeuv. t. VII, p. 156 | poliment [1] |
| C'est en polissant les plâtres à l'huile, qu'on leur donne un lustre presque aussi brillant que celui d'un beau marbre | Min. t. II, p. 55 | polir |
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