Citation de RETZ extraite de l'article "souffrir" du dictionnaire de français Littré
Chavigni, qui était rentré dans le cabinet, son unique élément, et qui y était rentré par le moyen de M. le Prince, ne pouvait souffrir qu'il l'abandonnât ; et il pouvait encore moins souffrir qu'il se tînt en bonne intelligence avec Mazarin qui était l'objet de son horreur
(Jean-François Paul de Gondi, cardinal de RETZ, Mém. t. II, liv. III, p. 403, dans POUGENS)
Citation | Œuvre | Entrée |
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Je ne puis vous exprimer à quel point alla le soulèvement des esprits | Mém. t. III, liv. IV, p. 113, dans POUGENS | soulèvement |
Je souffris ces défiances et ces reproches avec le respect et la soumission que je lui devais | Mém. t. II, liv. III, p. 390, dans POUGENS | soumission |
Je mis Vanbroc dans une soupente, où il eût fallu être chat ou diable pour le trouver | I, 14 | soupente |
Nous découvrîmes quelque temps après un obstacle plus sourd, mais aussi plus dangereux | Mém. t. I, liv. I, p. 79, dans POUGENS | sourd, sourde |
Le signor Annibal me mena dans une maison qui est sous Volterre, qui s'appelle l'hospitalità, et qui est bâtie sur le champ où Catilina fut tué | Mém. t. IV, liv. v, p. 6, dans POUGENS | sous |
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