Citation de MOLIÈRE extraite de l'article "patineur [2]" du dictionnaire de français Littré
Claudine : Ah ! doucement je n'aime pas les patineurs. - Lubin : Hé ! un petit brin d'amitié
(Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE, G. Dandin, II, 1)
Citation |
Œuvre |
Entrée |
J'ai une tendresse pour mes chevaux qu'il me semble que c'est moi-même, quand je les vois pâtir ; je m'ôte tous les jours pour eux les choses de la bouche |
l'Avare, III, 5 |
pâtir |
Il est vrai, mon oncle, qu'une oreille un peu délicate pâtit furieusement à entendre prononcer ces mots-là |
Préc. 5 |
pâtir |
Ciel ! que mon coeur pâtit ! |
Éc. des femm. II, 2 |
pâtir |
Prêchez, patrocinez jusqu'à la Pentecôte ; Vous serez ébahi, quand vous serez au bout, Que vous ne m'aurez rien persuadé du tout |
Éc. des f. I, 1 |
patrociner |
Où est le patron ? La fortune cruelle A ramené des champs le patron de la belle |
École des f. III, 4 |
patron, onne [1] |
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