Citation de MOLIÈRE extraite de l'article "ému, ue" du dictionnaire de français Littré
D'un fort vilain soupçon je me sens l'âme émue
(Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE, Sgan. VI)
Citation |
Œuvre |
Entrée |
Il n'y a rien qu'on ne fasse avaler, lorsqu'on l'assaisonne en louanges |
l'Av. I, 1 |
en [1] |
Autrement qu'en tuteur sa personne me touche |
Éc. des mar. II, 3 |
en [1] |
Je la regarde en femme aux termes qu'elle en est |
Éc. des f. III, 1 |
en [1] |
Touchez à monsieur dans la main, Et le considérez désormais, dans votre âme, En homme dont je veux que vous soyez la femme |
Femmes savantes, III, 3 |
en [1] |
Acheter sourdement l'esclave idolâtrée, Et la faire passer en une autre contrée |
l'Étour. I, 9 |
en [1] |
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Citation |
Auteur |
Œuvre |
Entrée |
Et je l'ai moins touché par ce que j'ai pu dire Qu'un chêne n'est ému du souffle d'un zéphire |
ROTROU
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Antig. V, 2 |
ému, ue |
Dans les airs mille cloches émues |
BOILEAU
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Sat. VI |
ému, ue |
Sais-tu pourquoi les airs Sont émus par les vents, rougis par les éclairs ? |
DUCIS
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Lear, III, 7 |
ému, ue |
J'étais à son exemple ému d'en faire autant |
RÉGNIER
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Sat. XII |
ému, ue |
Je vois le peuple ému pour prendre son parti |
CORNEILLE
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Poly. V, 1 |
ému, ue |