Citation de BUFFON extraite de l'article "tristesse" du dictionnaire de français Littré

Dans la tristesse, les deux coins de la bouche s'abaissent, la lèvre inférieure remonte, la paupière est abaissée à demi, la prunelle de l'oeil est élevée et à moitié cachée par la paupière, les autres muscles de la face sont relâchés, de sorte que l'intervalle qui est entre la bouche et les yeux est plus grand qu'à l'ordinaire, et par conséquent le visage paraît allongé

(Georges Louis Leclerc, comte de BUFFON, Hist. nat. hom. Oeuv. t. IV, p. 300)