Citation de BUFFON extraite de l'article "tristesse" du dictionnaire de français Littré
Dans la tristesse, les deux coins de la bouche s'abaissent, la lèvre inférieure remonte, la paupière est abaissée à demi, la prunelle de l'oeil est élevée et à moitié cachée par la paupière, les autres muscles de la face sont relâchés, de sorte que l'intervalle qui est entre la bouche et les yeux est plus grand qu'à l'ordinaire, et par conséquent le visage paraît allongé
(Georges Louis Leclerc, comte de BUFFON, Hist. nat. hom. Oeuv. t. IV, p. 300)
Citation | Œuvre | Entrée |
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Le bismuth et le mercure s'unissent à froid en les triturant ensemble | Min. t. v, p. 333 | triturer |
La seconde espèce de chêne porte ses glands en bouquets ou trochets comme les noisettes | Expos. sur les végét. 2e Mém. | trochet |
On peut parier 13477 contre 700, ou 19 17/79 contre 1, qu'un enfant de trois ans vivra un an de plus | Prob. de la vie, Oeuv. t. x, p. 264 | trois |
Il [le P. Charlevoix] dit que les nègres de Guinée ont l'esprit extrêmement borné.... qu'on en voit qui ne peuvent jamais compter au delà de trois | Hist. nat. hom. Oeuv. t. v, p. 145 | trois |
Les trombes, que les navigateurs ne voient jamais sans crainte et sans admiration | Hist. nat. Pr. th. terr. Oeuv. t. II p. 273 | trombe [1] |
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