Citation de VOLTAIRE extraite de l'article "dévorer" du dictionnaire de français Littré
Dans les villes qui paraissent jouir de la paix et où les arts fleurissent, les hommes sont dévorés de plus d'envie, de soins et d'inquiétudes qu'une ville assiégée n'éprouve de fléaux
(François-Marie Arouet, dit VOLTAIRE, Candide, 20)
Citation | Œuvre | Entrée |
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D'un oeil d'impatience il dévorait sa proie | Henr. X | dévorer |
Il dévore des yeux le fruit de tous ses crimes | Catil. IV, 4 | dévorer |
Sous un maître odieux dévorant ma tristesse | Mérope, II, 7 | dévorer |
Comment avez-vous pu dévorer si longtemps Une douleur plus tendre et des maux plus touchants ? | Brutus, II, 1 | dévorer |
Dévorant mon dépit et mes soupirs honteux | Orphel. III, 4 | dévorer |
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Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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Où dit-on que le sort vous a fait rencontrer ? - Parmi des loups cruels prêts à me dévorer | RACINE | Athal. II, 7 | dévorer |
Tu es ici dans un antre où les hommes te dévoreront | CHATEAUBRIAND | Natch. II, 218 | dévorer |
Et je lui porte enfin mon coeur à dévorer | CHATEAUBRIAND | Androm. V, 6 | dévorer |
Sous notre heureuse demeure, Avec celui qui les pleure, Hélas ! ils dormaient hier ! Et notre coeur doute encore, Que le ver déjà dévore Cette chair de notre chair ! | LAMARTINE | Harm. II, 1 | dévorer |
Je ne sais pas s'il digère bien, mais je sais qu'il dévore | MAINTENON | Lettre à l'abbé Gobelin, 8 mai 1675 | dévorer |