Citation de BUFFON extraite de l'article "nègre" du dictionnaire de français Littré
Depuis qu'on transporte des nègres en Amérique, c'est-à-dire depuis environ 250 ans, l'on ne s'est pas aperçu que les familles noires qui se sont soutenues sans mélange aient perdu quelques nuances de leur teinte originelle
(Georges Louis Leclerc, comte de BUFFON, Quadrup. t. VII, p. 196)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| On ne trouve des nègres que dans les climats de la terre où toutes les circonstances sont réunies pour produire une chaleur constante et excessive | Hist. nat. Homme, Oeuvr. t. v, p. 225 | nègre |
| De l'Asie les paons ont passé dans la Grèce, où ils furent d'abord si rares, qu'à Athènes on les montra pendant trente ans à chaque néoménie comme un objet de curiosité | Ois. t. IV, p. 14 | néoménie |
| Le bon fer, c'est-à-dire le fer qui est presque tout nerf, est au moins cinq fois aussi tenace que le fer sans nerf et à gros chaînons | Hist. min. Introd. Oeuvr. t. VII, p. 66 | nerf |
| Le fer en bandes plates est toujours plus nerveux que le fer en barreaux | Hist. min. Introd. Oeuv. t. VII, p. 74 | nerveux, euse |
| Aussi a-t-il [l'âne] la jambe plus sèche et plus nette que le cheval | Quadrup. t. I, p. 151 | net, ette, |
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