Citation de AMYOT extraite de l'article "mal-appris, ise" du dictionnaire de français Littré
En appelant les honnestes [femmes] qui n'aiment que leurs maris, sottes, mal-apprises et sans grace quelconque
(Jacques AMYOT, Plut. Oeuv. inéd. t. XV, p. 275)
Citation |
Œuvre |
Entrée |
Nous confessons qu'en nostre ville jadis y a eu un parricide et en Argos un matricide ; mais quant à nous, nous avons chassé et banny de noz païs ceux qui ont commis telles malheuretez |
Plut. Oeuv. mor. t. XV, p. 345 |
matricide [1] |
Après que le timon et le gouvernail de la navire est brisé par la tourmente, les mariniers taschent à y reclouer et attacher encore quelque autre piece de bois au lieu |
Plut. Marcus Brutus, 57 |
reclouer |
Il [Chrysippe] dit que, par nature, l'air est tenebreux, et, pour ceste cause par consequent, il est aussi le premier froid, et que sa tenebrosité est directement opposée à la clarté, et sa froideur à la chaleur du feu |
Plut. les Contredicts des stoïques, 49 (Oeuvres mor. t. XX, p. 321, Paris, an XI |
ténébrosité |
Alors se font les superfetations, et alors s'engendrent les trijumeaux |
Plut. Les opin. des phil. V, 10, Oeuvr. mor. t. XXII, Paris, an XI |
trijumeau |
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