Citation de DAUDET extraite de l'article "sensibiliser" du dictionnaire de français Littré
En somme, il n'y a pas de profession où l'on se déchire d'aussi bon coeur [qu'au théâtre] ; aucun art ne sensibilise à ce point l'amour-propre
(Alphonse DAUDET, Journ. offic. 24 janv. 1876, p. 720, 1re col.)
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| Citation | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|
| Conversations susurrées | le Temps, 3 oct. 1877, 1re page, Feuilleton, 5e col. | susurrer |
| Un grand garçon, alerte et solide, les reins étroitement serrés dans sa taillole en laine rouge | Journ. offic. 3 août 1874, p. 5514, 1re col. | taillole |
| Peut-être, dans quelques jours, quand la pièce sera tassée, comme on dit au théâtre, il deviendra possible de lui adjoindre un acte étranger | Journ. offic. 24 janv. 1876, p. 720, 3e col. | tassé, ée |
| On y reconnaît [dans Mlle Duparc] ce ton philosophique et tutoyeur, doctoral et familier, que M. Dumas a adopté dès longtemps | Journ. offic. 25 janv. 1875, p. 658, 1re col. | tutoyeur, euse |
| Ils [Manon et Desgrieux] ont la même veulerie de sentiment, les mêmes bassesses | Journ. offic. 8 févr. 1875, p. 1050, 3e col. | veulerie |
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