Citation de MOLIÈRE extraite de l'article "fourré, ée [1]" du dictionnaire de français Littré
Et contre cet assaut je sais un coup fourré
(Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE, l'Ét. III, 6)
Citation |
Œuvre |
Entrée |
Ah ! traître que tu es, où t'es-tu donc allé fourrer ? |
Avare, II, 1 |
fourrer |
Vous êtes un sot de venir vous fourrer où vous n'avez que faire |
Méd. m. lui, I, 2 |
fourrer |
Que le ciel au besoin l'a céans envoyé Pour redresser à tous votre esprit fourvoyé |
Tart. I, 1 |
fourvoyé, ée |
Et de son grand fracas surprenant l'assemblée, Dans le plus bel endroit a la pièce troublée |
Fâcheux, I, 1 |
fracas |
Tout ce fracas, Cet embarras Me pèse par trop sur les bras |
Bourg. gentilh. V, entrée 1 |
fracas |
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Citation |
Auteur |
Œuvre |
Entrée |
Les voilà tous deux arrivés Devant sa majesté fourrée |
LA FONTAINE
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Fabl. VII, 16 |
fourré, ée [1] |
Les hermines dont ils [les magistrats] s'emmaillotent en chats fourrés |
PASCAL
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Puiss. tromp. imag. 2 (édit. FAUGÈRE). |
fourré, ée [1] |
Il trouve de pédants un escadron fourré |
BOILEAU
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Sat. VIII |
fourré, ée [1] |
Et se moquait très librement Des bavards fourrés de l'école |
VOLTAIRE
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Épît. LXVI |
fourré, ée [1] |
Les oiseaux presque nus, tels que l'autruche, le casoar, le dronte, ne se trouvent que dans les pays chauds ; tous ceux des pays froids sont bien fourrés et bien couverts |
BUFFON
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Ois. t. I, p. 60, dans POUGENS |
fourré, ée [1] |