Citation de MAIRET extraite de l'article "logé, ée" du dictionnaire de français Littré
Et l'armée ennemie à nos portes logée
(Jean de MAIRET, Sophon. I, 1)
Citation |
Œuvre |
Entrée |
Eh bien, aurait-on cru que sous tant de beauté Logeât tant de malice et de déloyauté ? |
Sophon. I, 3 |
loger |
Le soupçon, ce monstre sans pitié, Loge bientôt la haine où logeait l'amitié |
Solim. II, 7 |
loger |
Va, dans ce triste coeur je ne veux plus de place ; Si l'amour m'y logea, la trahison m'en chasse |
Mort d'Asdr. II, 3 |
loger |
La loi de l'État veut que les rois de Thrace.... |
Soliman, I, 1 |
loi [1] |
...l'acier poli de leurs armes luisantes |
Sophon. II, 3 |
luisant, ante |
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Citation |
Auteur |
Œuvre |
Entrée |
Dieu était logé trop haut pour nous |
BOSSUET
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Hist. II, 12 |
logé, ée |
Je veux.... vous assurer que j'en suis toujours logée là : c'est de croire qu'il n'y a point de mérite comme le vôtre |
SÉVIGNÉ
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à Mme de Guitaut, 1er janv. 1694 |
logé, ée |
Si, par ce qu'il a déjà vu, il a de la peine à se douter de ce qu'il verra, peut-être que j'en suis logé là aussi bien que lui |
SCARRON
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Rom. com. I, 12 |
logé, ée |
Un campagnard fort riche et de bonne famille Est si sot que d'Anselme il épouse la fille ; Le voilà bien logé ! |
CORNEILLE Th.
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Comtesse d'Orgueil, IV, 6 |
logé, ée |
Je souhaite, mon cher ange, que vous n'en soyez jamais logé là |
VOLTAIRE
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Lett. d'Argental, 6 nov. 1773 |
logé, ée |