Citation de BOILEAU extraite de l'article "champ [1]" du dictionnaire de français Littré

Ô fortuné séjour, ô champs aimés des cieux ! Que pour jamais foulant vos prés délicieux, Ne puis-je ici fixer ma course vagabonde, Et, connu de vous seuls, ignorer tout le monde !

(Nicolas BOILEAU-DESPRÉAUX, Ép. VI)