Citation de DIDEROT extraite de l'article "prunelle [2]" du dictionnaire de français Littré

Gonflez un peu trop certains muscles de ses joues [d'une belle femme], et la voilà colère ; fixez la prunelle, et la voilà bête ; donnez du feu à cette prunelle fixe, et la voilà impudente

(Denis DIDEROT, Lett. à Mlle Voland, 2 sept. 1762)