Citation de VOLTAIRE extraite de l'article "prunelle [2]" du dictionnaire de français Littré

Il y avait trois ou quatre ans que je n'avais pleuré, et je comptais bien que mes vieilles prunelles ne connaîtraient plus cette faiblesse, jusqu'à ce qu'elles se fermassent pour jamais

(François-Marie Arouet, dit VOLTAIRE, Lett. Mme Denis, 9 juill. 1753)