Citation de VOLTAIRE extraite de l'article "souper [1]" du dictionnaire de français Littré
Grandeur et grâces, grenadiers et muses, trompettes et violons.... société et liberté [chez le roi de Prusse], qui le croirait ? tout cela pourtant est très vrai, et tout cela ne m'est pas plus précieux que nos petits soupers
(François-Marie Arouet, dit VOLTAIRE, Lett. en vers et en prose, 99)
Citation | Œuvre | Entrée |
---|---|---|
Un des plus grands malheurs des honnêtes gens, c'est qu'ils sont des lâches : on gémit, on se tait, on soupe, on oublie | Lett. d'Alembert, 7 août 1766 | souper [2] |
Vous vivez comme si l'homme avait été créé uniquement pour souper ; et vous n'avez d'existence que depuis dix heures du soir jusqu'à deux heures après minuit | Lett. Thiriot, 12 juin 1735 | souper [2] |
Le colonel me prierait à souper ; mais, par malheur, je ne soupe point | Lett. au Pr. roy. de Pr. 25 avr. 1739 | souper [2] |
Un roi aimable [Frédéric II] qui se bat comme César, qui pense comme Julien, et qui me donne vingt mille livres de rente et des honneurs pour souper avec lui | Lett. d'Argental, 4 mai 1751 | souper [2] |
Il n'y a soupeur qui se couche, ni bégueule qui se lève plus tard que vous | Lett. Thiriot, 12 juin 1735 | soupeur, euse |
Plus de citations de VOLTAIRE... |