Citation de GUEZ DE BALZAC extraite de l'article "muse [1]" du dictionnaire de français Littré
Il est certain, et vous le savez aussi bien que moi, vous qui connaissez les bonnes choses, et qui les faites, qu'il n'y a point de muses si sévères que les françaises, ni de langue qui souffre moins le fard et l'apparence du bien que la nôtre
(Jean-Louis GUEZ de BALZAC, liv. X, lett. 3)
Citation | Œuvre | Entrée |
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Avant que de venir à votre lettre, je réponds à votre billet, et vous dis en premier lieu que j'en ai admiré la narrative | Lett. inédites, LVII (éd. Tamizey-Larroque) | narrative |
Est-ce une mode étrangère apportée de dehors, qui depuis peu a été naturalisée en ce royaume ? | Remarque sur les deux sonnets, 10e chap. | naturaliser |
Et qu'est-ce, à votre avis.... d'avoir arraché des erreurs, qui avaient pris racine dans les esprits, qui s'étaient naturalisées avec eux ? | 1er disc. | naturaliser |
Ce sont mes vraies lettres de naturalité, et de barbare me voici devenu citoyen romain | liv. V, lett. 2 | naturalité |
Vous êtes né ce que nous tâchons de devenir | Liv. IV, lett. 31 | né, née |
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